Cette formation complète DSLR Cinematography rassemble les 6 épisodes. Un total de 10 heures de formation pour vous apprendre à maîtriser chacun de aspects de la production audiovisuelle professionnelle et l'utilisation d'un boiter reflex : la température de couleur, la cadence d'enregistrement et vitesse d'obturation, la profondeur de champ, les styles d'images et la post Production, les formats et l'exportation.
Cette formation s’adresse aux autodidactes passionnés et enthousiastes dont je fais moi-même partie. La plupart d’entre nous a débuté la vidéo avec la sortie du Canon 5D et j'ai pu notamment constater de l’engouement, toujours intact, que suscite la perspective de shooter avec un DSLR. J’ai donc voulu cette série d’épisodes comme un recueil de fondamentaux, dans le but de démystifier ce qui fait la particularité d’une image cinéma. Et de prendre le temps de répondre à cet objectif de manière approfondie.
Au programme de cette formation DSLR Cinematography :
L'épisode 1 s'intéressera exclusivement à la température de couleur. S’il y a une notion qui est très souvent négligée par le débutant, c’est bien celle là. La maîtrise de la température de couleur est fondamentale pour contrôler son rendu et intervient d’ailleurs de deux manières : à la fois dans le choix des réglages du boîtier et par rapport à la source de lumière utilisée. Aussi, nous traiterons de ces aspects en détail ; à la fin de ce premier épisode la notion de température de couleur sera devenue un véritable alliée.
Avec l’épisode 2, nous entrerons davantage dans le vif du sujet. Celui-ci vise la parfaite maîtrise du DSLR ; laquelle conduira à abandonner définitivement les modes automatiques ou semi-automatiques.
Beaucoup d’entre nous viennent souvent de la photographie et continue de penser comme tel alors que vidéo on amène une nouvelle variable : celle de cadence d’enregistrement et, par voie de conséquence, le couple cadence d’enregistrement et vitesse d’obturation.
Nous nous attarderons longuement sur la règle de l’obturateur de 180° qui, à elle seule, conditionne grandement le rendu de l’image et ce fameux « look cinéma ». Nous verrons, à ce titre, plusieurs exemples illustrant également les manières d’enfreindre cette règle en analysant, à chaque fois, les incidences sur l’image.
L’épisode suivant abordera la profondeur de champ, principalement sous ses aspects théoriques. Nous verrons, graphique à l’appui, les principales règles d’optique qui vous permettra d’en comprendre les mécanismes avant de passer en revue les différents paramètres et notions ayant une incidence sur la profondeur de champ, de manière parfois très subtile : l’ouverture du diaphragme bien sûr, le rapport entre le sujet et la caméra et longueur focale.
Dans les épisodes 4 et 5, nous nous intéresserons aux styles d’image et à l’étape de post production ; deux aspects particulièrement interdépendants. Nous verrons, dans un premier temps, le fameux Cinestyle du 5D qui à ouvert la voie à une nouvelle esthétique à l’image laiteuse, en augmentant l’information dans les hautes lumière et dans les ombres. Les Cinelike V ou D caractéristique du GH4 seront aussi très largement de même que les notions REC 709 et LOG : qu’est un LOG, comment fonctionne t-il et comment en tiré le meilleur parti au moyen, notamment, du dynamic range de nos DSLR et Mirrorless. Nous explorerons, à ce titre, les outils de références, les waveforme, le RGB parade et les Vectorscopes.
Nous nous focaliserons, ensuite, sur la correction de couleur et l’étalonnage avec Premiere Pro et l’incontournable Davinci Resolve ; pour passerons, pour chacun, les outils spécifiques dont ils disposent. Il sera notamment question de LUT (Look Up Table) qui vous permettront d’apporter la touche définitive à vos vidéos : qu’est ce que c’est, à quoi ça sert et comment ça fonctionne ?
Nous aborderons, dans cet ultime épisode, les notions de conteneur, de codec, de bitrate, d'intra et d’inter frame, etc. Autant de notions absolument fondamentales qu’il faut prendre en compte lors de l'exportation mais également lors de la prise de vue, et souvent déconcertantes pour le débutant.
Nous verrons notamment comment exporter en haute qualité pour youtube en HD ou en 4k et comment archiver nos montages en appel Pro Res pour en faire des masters de nos montages intermédiaires ou définitifs avant de nous intéresser au choix du format d'images - 4:3, 16:9, 2:35 ou cinemascope -, lequel correspondent à un réel parti pris ; autant esthétique que narratif.
Cet épisode 6 mettra donc en lumière l’ensemble des procédés d’exportation et de compression. Vous serez, dès lors, à même de comprendre les spécificités et les différences des boitiers ou caméra que vous aurez entre les mains.
L’ensemble de ce bundle constitue, sans nul doute, une solide base pour démarrer ou se perfectionner ; les principes théoriques fondamentaux sont, pour leur part, largement développés.
Pour plus de précision, n’hésitez pas à parcourir la fiche technique individuelle de chaque épisode.
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