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Plus d’infos sur les Éditions ENI

ENI Editons

Éditeur historique de contenus de elearning, nous voulions vous proposer d’en savoir une peu plus sur cette société. Entretien avec Antoine Gilles, le responsable ecommerce de la marque.

Q – Bonjour Antoine. Pouvez-vous nous présenter rapidement Editions ENI ?

Editions ENI est créateur et éditeur d’outils de formation à l’informatique technique, web, graphisme, bureautique et entreprise. Nous sommes le 1er éditeur de livres d’informatique en français et le seul à couvrir l’ensemble des thématiques concernées par ce domaine.

Nous sommes un des plus importants groupes de formation à l’informatique en France. Notre vocation est de proposer l’ensemble des possibilités d’apprentissage à tous ceux qui souhaitent apprendre l’informatique : livres imprimés, livres numériques, supports de cours, bibliothèque numérique, e-learning bureautique, présentiel, et donc désormais vidéos.

Nous avons lancé notre activité vidéo en fin d’année 2012, à ce jour nous avons publié une douzaine de vidéos de formation (SQL Server, VBA Excel, VMware, Photoshop, C#, etc.) le rythme doit s’accélérer dès la rentrée de septembre.

Q – Parlons tutoriel vidéo. Qu’est-ce qui vous a décidé à franchir le pas ? Quel regard portez-vous sur ce format par rapport au livre informatique traditionnel ?

Le tutoriel vidéo est un outil complémentaire au livre : il propose une approche différente, notamment plus « visuelle ». Il est un outil aujourd’hui incontournable dans le monde de la formation, voire même de l’information. Les sites tels que Youtube, Dailymotion ou Vimeo ont aussi habitué les internautes, donc les stagiaires potentiels à utiliser ce type de support. La formation à l’informatique ne pouvait donc qu’évoluer vers cela.

La plupart de nos auteurs de vidéos, sont également les auteurs des livres correspondant. Nous avons fait ce choix pour assurer à nos vidéos un niveau de qualité pédagogique et technique équivalent au reste de nos outils et notamment les livres.

Antoine Gilles

Q – Pensez-vous d’ailleurs que la vidéo soit le format le plus adapté pour des produits techniques, comparé au livre ?

Ces deux formats sont complémentaires et correspondent à des profils d’apprenants qui peuvent être différents.

A partir du moment où le produit technique concerné dispose d’une interface, le format vidéo peut être utilisé, il y a des « choses » à montrer. Je dirais même que sur certains sujets le format vidéo apporte un vrai plus à l’apprentissage en illustrant de façon très concrète des explications plus générales. D’ailleurs, à chaque fois que c’est possible, nous intégrons également des extraits de vidéos dans nos livres via des flashcodes, afin de jouer à fond la complémentarité entre ces méthodes d’apprentissage.

Q – Vous êtes l’un des premiers éditeurs « traditionnel » à vous lancer sur ce format. Pensez-vous que les autres vont suivre ?

Si par « traditionnel » vous entendez éditeur de livres imprimés, effectivement c’est peut-être le cas. Toutefois, nous avons déjà une longue expérience du numérique en général (e-learning, livre numérique, bibliothèque numérique…) et le passage au format vidéo est une suite logique dans notre offre, ce n’est pas une grande révolution pour nous ce qui ne sera peut-être pas le cas des autres éditeurs.

Q – Un mot pour la fin ?

Après les livres imprimés puis numériques et le e-learning, le format vidéo est le dernier type de ressources publié par Editions ENI. Dans notre cœur de métier – la formation à l’informatique  – nous avons l’ambition de rester incontournables en proposant les meilleurs outils pédagogiques à nos clients. Pour cela, nous restons aussi à l’écoute de toutes les évolutions technologiques, et suivons de près l’appropriation qui en est faite ensuite par nos clients.

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Tutonovelas : témoignage #2

Suite de notre une petite série consacrée à notre appel à témoin. Pour rappel : nous avons voulu savoir (et voulons toujours…) si les formations suivies sur Tuto.com vous ont permis de trouver de nouveaux clients, gagner votre indépendance créative, lancer une nouvelle activité, vous voir approcher par les meilleures agences web et studios de création du moment, botter les fesses de la concurrence, ou tout simplement kiffer la vie, etc.

(suite…)

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MOOC – Définition

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Dossier MOOC – approche alternative.
Ce qui précède :
Part 1, Introduction et contexte

Ce qui suit :
Part 3, Vers de nouvelles formes de pédagogies,
Part 4, La place et le rôle de l’enseignant.

 

Suite du dossier consacré aux MOOC. Après l’introduction, passons à une partie plus « technique » et tentons de regarder précisément cet « objet MOOC » à l’origine de toute cette frénésie !…

Diversité dans leur cadre théorique, donc, qui fluctue largement au rythme des opportunités économiques que certains voient se dessiner. Diversité dans leur forme aussi dans le bouillonnement des projets actuels et à venir ou selon les traditions pédagogiques privilégiées.
Car dans cette petite hystérie collective qui saisie, tout autant, le monde de la formation et du e-learining (centres de formation professionnelle, éditeurs de LMS, éditeurs de vidéo de formation, plateformes dédiées, etc.), chacun entend jouer des coudes pour assurer sa position ; sur Google plus qu’ailleurs. Tous, bien décidés à capter cette nouvelle rente, toute source confondue (capital-risqueurs, subventions publiques), qui s’offrent à eux ; soucieux, toutefois, d’invoquer leur intention altruiste et humaniste.

Il convient donc de rappeler le noyau dur de propriétés qui leurs sont généralement associées. Ces derniers mots et l’essentiel de la définition qui suit (probablement une des plus claires et concises glanées sur le web, et qui correspond plutôt bien à l’idée que nous nous faisons des MOOC) sont empruntés au très bon livre blanc édité par Unow et consacré à la conception d’un parcours d’apprentissage dans le cadre d’un MOOC. Pour une définition plus exhaustive, dirigez-vous vers l’incontournable Wikipédia.

 

Définition générale

MOOC : Massive Open Online Course ou cours en ligne ouverts et massifs in french. Selon ces termes, un MOOC est un cours conçus pour être diffusés en ligne avec des échéances, des examens, une reconnaissance en cas de réussite et des interactions entre apprenants et possédant au minimum les caractéristiques suivantes :

  • Structure de « cours ». Un MOOC est construit autour d’un flux temporel d’actions pédagogiques organisé autour d’objectifs d’apprentissage. Il possède une date de début et une date de fin,
  • En ligne, avec un point de ralliement. L’ensemble du cours se déroule sur le web et un espace en ligne permet aux participants de s’inscrire, d’accéder au contenu du cours et d’entrer en contact avec d’autres participants. Le terme « plate-forme » désigant l’environnement d’apprentissage,
  • Ouvert. L’accès est libre et gratuit pour tous, afin de remplir pleinement leur mission de démocratisation de l’enseignement supérieur. Des options payantes peuvent être toutefois proposées (tutorat, certification ; nous aborderons les alternatives de financement dans la partie consacrée aux modèles économiques),
  • Massif (potentiellement). Cette propriété découle des trois précédentes.

 

Structure d’un MOOC

Un MOOC se compose d’un ensemble de ressources et d’activités dont l’assemblage forme un ou plusieurs parcours d’apprentissage. Celui-ci forme le cheminement de l’apprenant.

 

Les ressources pédagogiques

Une ressource est un élément statique du cours :

  • Les ressources d’apprentissage : conçues avant le MOOC, elles forment la matière première du cours. Ces ressources peuvent être créées spécifiquement pour le MOOC ou pré-exister (cours magistraux en vidéo, manuels, supports de cours, objets d’étude, articles de blog, interviews, vidéos externes, etc.),
  • Les ressources d’accompagnement : conçues de préférence avant le MOOC, elles permettent d’orienter et de guider l’apprenant. Elles forment le liant des ressources d’apprentissage. Ces ressources sont toujours créées spécifiquement pour un MOOC (vidéo de présentation du cours, liste des ressources, liens utiles, tutoriels sur l’utilisation de la plateforme et de logiciels externes nécessaires au suivi du cours ou à la réalisation de projets, etc.),
  • Les ressources d’animation : conçues pendant le MOOC, elles permettent de l’événementialiser, de façon à rendre l’expérience vivante (outils de vidéo-conférence, annonce ponctuant le parcours pédagogique et se référant à l’agenda fixé, tchat, forum, réseaux sociaux, etc.).

Les activités

Une activité est un élément interactif du cours, souvent suit d’une évaluation (par l’équipe pédagogique et par les pairs) voire d’une certification.

  • Les activités individuelles, qui peuvent être réalisées par un participant seul.
  • Les activités collectives, qui nécessitent la participation de plusieurs apprenants (travaux de groupe, production collaborative via wikis, entraide, etc.).

Ressources pédagogiques. Unow

 

Deux grandes approches pédagogiques

On peut distinguer deux types de MOOC :

Les xMOOC

Les xMOOC s’appuient sur une approche pédagogique traditionnelle. Celle-ci repose sur une transmission verticale du savoir et privilégie la démarche didactique de l’enseignant (comme autorité et vecteur premier de cette transmission) tel que principalement pratiqué dans l’enseignement et les différents cursus de formation ; quand bien même que les outils numériques ont été intégrés au dispositif éducatif. Ces derniers servant avant tout à enrichir l’expérience de l’apprentissage.
Peu d’interaction, donc, entre les participants-apprenants du cours, les xMOOC proposent, pour l’essentiel, de fournir les connaissances nécessaires, au sein d’un même programme, visant à valider les compétences acquises par un certificat de réussite.

 

Les cMOOC

Les cMOOC reposent sur une approche pédagogique fondée sur la théorie de la connectivité, ou méthodes « connectivistes ». Ils proposent de réduire la centralité de l’enseignant à l’avantage d’un réseau d’experts externes et de mettre l’interaction entre les apprenants au cœur de l’apprentissage ; ceux-ci participant, pour une large part, à la création de contenu autour d’activités collaboratives (ou connectives, plus précisément) et d’un travail d’équipe pluridisciplinaire.
Les cMOOC privilégient l’émergence d’une sorte d’intelligence collective favorisant l’innovation et le progrès social. Deux types d’orientation : la résolution de problème et le développement de projet. Sur ce principe, certains apprenants se sont vu confier et mener à terme la réalisation de projets concrets au sein d’équipes internationales telles que l’implantation d’éoliennes ou de Call Centers au Togo, ou encore la fabrication d’une imprimante 3D.
Les objectifs étant de favoriser, plus fortement, l’autonomie et la capacité d’engagement des apprenants, de contribuer à manipuler des outils et des concepts et à développer des méta-aptitudes (relatif au « savoir-où » et à la capacité de vérifier l’authenticité d’une information).

tableau MOOC

 

En réalité et dans leur application concrète, les frontières sont souvent poreuses entre les principales approches pédagogiques et les caractéristiques des parcours choisis (challenge ou degré de difficulté, degré d’interaction, niveau de contrainte ou encore type de ressources utilisées, pré-requis nécessaires ; tel que modélisé par Matthieu Cisel) ; rendant ainsi de plus en plus difficile la possibilité d’en définir une typologie claire. Pour finalement en revenir au terme unique de MOOC. L’éternel retour des choses !

 

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Cinema 4D 15

Cinema 4D 15

Maxon vient d’annoncer la sortie de Cinema 4D 15 (version R15 pour les plus pointus d’entre vous) pour la rentrée, en septembre 2013 donc. Préparez-vous, car il y a une belle liste de nouveautés, que voici, que voilà :

Les nouveautés de Cinema 4D 15

  • Des améliorations du côté des rendus, notamment du côté du Team Render proposant désormais un nombre indéfini de noeuds de rendu pour la version Studio et 3 noeuds pour les versions Visualize et Broadcast. C’est l’utilisateur qui décide si il peut distribuer le rendu d’une image ou bien l’intégralité d’une animation. Un nouvel algo de Cache d’irradiance a été ajouté pour obtenir des meilleurs résultats sur l’illumination globale, l’occlusion ambiante, le rendu physique.
  • Côté modélisation, un nouvel outil Biseau fait son apparition.
  • Du côté des Typo 3D : Cinema 4D connaissant un succès grandissant auprès de Motion Designers qui seront ravis d’apprendre que les outils de typo 3D ont été améliorés vous permettant d’obtenir des animations bien plus complexes ! Vous pouvez donc directement éditer vos texte grâce à MoText et Text Splines depuis la vue 3D directement, le tout pouvant être associé à MoGraph et Xpresso.
  • La Sculpture Dynamique : une nouvelle brosse (Amplifier) et les options avancées Dupliquer, Symétriser et Masquer permettront de sculpter plus finement dans Cinema 4D 15.
  • Création de Gazon facilitée grâce au gazon architectural (basé sur le module Hair et Fur)
  • Une nouvelle caméra simulant la célèbre caméra grue Louma fait son apparition.
  • Un nouveau gestionnaire de texture améliorant la gestion des bitmaps et apportant un outil de réparation de textures endommagées.

Bien entendu, vous pourrez vous mettre à jour grâce à une formation Cinema 4D 15 qui sera proposée rapidement par un de nos contributeurs à n’en pas douter !

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MOOC – Introduction

mooc-img-1 Massive Open Online Course

Dossier MOOC – approche alternative.
Ce qui suit :
Part 2, Définition d’un MOOC,
Part 3, Vers de nouvelles formes de pédagogies,
Part 4, La place et le rôle de l’enseignant.

 

Introduction et contexte

Sujet brûlant du moment : les MOOC (Massive Open Online Course). Un acronyme, certes barbare (prononcez « MOC », in french)*, mais derrière lequel se cache surtout ce qui pourrait bien démocratiser définitivement l’accès au savoir et être à l’origine d’une modification radicale de l’enseignement et de l’éducation.

 

De multiples enjeux

Car, dans leurs applications les plus abouties et audacieuses, du moins tel qu’ils seront considérés ici (le cadre théorique fluctuant largement, en effet, au rythme des opportunités que certains voient se dessiner dans cette économie du savoir), les MOOC constituent bien plus que le simple passage du système éducatif aux outils numériques. Ils représentent une remise en question totale de son modèle (les méthodes et techniques d’apprentissage, l’évaluation, le système de valeur, les interactions entre les individus, les structures hiérarchiques, la propre légitimité des établissements du supérieur dans la transmission de connaissances, leur influence ici et ailleurs, la place de l’enseignant, etc.) autant qu’ils relèvent de multiples enjeux ; tout à la fois économiques, culturels et sociaux. Touchant en profondeur la structure et l’organisation même de nos sociétés, toujours un peu plus vacillantes.

Il est de bon ton d’évoquer un changement de paradigme en de telles circonstances ; souvent de manière excessive d’ailleurs. Il semblerait bien, toutefois, que l’expression n’est jamais été aussi bien adaptées. Internet (ou le web ; précisons tout de suite aux puristes qu’aucune distinction ne sera faite entre les deux termes) n’aura finalement, depuis ses origines, épargné aucun champ de l’activité humaine ; aucune institution. Même celles restées longtemps préservées à l’ombre de leurs traditions séculaires (ne restera plus qu’à faire éclater définitivement les institutions politiques… Les plus résistantes !). « Nos institutions luisent d’un éclat qui ressemble, aujourd’hui, à celui des constellations dont l’astrophysique nous apprit jadis qu’elles étaient mortes déjà depuis longtemps », nous dit, par exemple, Michel Serres dans Petite Pucette…

Internet change le monde, de force, inexorablement, par petits soubresauts successifs, par ce mouvement irréversible que Francis Pisani et Dominique Piote désignent, dans Comment le Web change le monde, par « alchimie des multitudes ».
Spécificités majeures, plutôt appropriées à notre affaire de MOOC : la mise en relation d’un nombre toujours plus grand de personnes et de données favorisant l’émergence spontanée de propriétés nouvelles, les notions de conservation comme nouvelle main invisible et d’organisation liquide sans frontières (géographiques, culturelles et sociétales) ni hiérarchie.
Dans ce contexte percent d’autres vecteurs de tension. Aussi, cette nouvelle dynamique relationnelle, à laquelle il devient plus que jamais nécessaire d’adhérer, se heurte violemment à la mécanique institutionnelle ; une mécanique à fort degré d’inertie.

 

La transmission du savoir

Les MOOC posent également la question de la transmission du savoir dans un monde où celui-ci est désormais accessible à tous, à tout moment et en tout lieu (sans même bouger ses fesses) grâce à Internet et aux nouveaux supports mobiles ; il est toujours et partout déjà transmis. Une somme de connaissance à portée de clic, immédiate et objectivée en ce qu’elle n’a plus de référents propres, qu’ils soient espace « concentré » (une université, un amphi, etc.), objets (de livres en bibliothèques, dictionnaires), de personne (un enseignant) ou de patrie (l’histoire, la tradition, la culture dominante, l’idéal paternalisme d’éducation des masses, etc.) presque clos à ce qui les entourent.
Pour reprendre l’énoncé de Michel Serre, comment, dès lors, transmettre le savoir ; que transmettre ; à qui le transmettre

Les MOOC apparaissent, techniquement et par les multiples projets et opportunités économiques qu’ils engendrent, comme une tentative de réponse concrète à ces questions et aux bouleversements de notre époque. Ceux-ci impliquent autant le rôle et la place de l’enseignant dans le processus d’acquisition des connaissances que la manière dont l’apprenant peut y être intégré.

 

Les mutations en cours

D’abord, l’éclatement des clivages culturels, sociaux et nationaux, la disparité des goûts et des pratiques culturelles (entre haute-culture, sous-culture et culture familiale), la multiplication des sources d’information et des modes de diffusion brouillent, selon Bernard Lahire (Sociologie des pratiques culturelles), le découpage des frontières symboliques entre les groupes sociaux et tendent à éroder le socle de connaissances et de valeurs communes.
Ensuite, dans un contexte où, d’une part, le mode de lecture linéaire cède sa place à l’hypertexte et où, d’autre part, les nouvelles technologies prennent peu à peu le pas sur les facultés de notre cerveau, au final « externalisées » (une extension de notre mémoire), l’accumulation de connaissances compte finalement moins que les capacités à développer des compétences techniques et conceptuelles ou à établir des connexions entre les différents champs du savoir. A ce titre, Georges Siemens évoque un méta-apprentissage devenant aussi important que l’apprentissage lui-même ; au « savoir-faire » et « savoir-quoi » s’ajoute le « savoir-où » (savoir où trouver les connaissances quand c’est nécessaire).
A tel point que ce « j’aime mieux forger mon âme que de la meubler » de Montaigne, dans une époque où l’écriture et l’imprimerie s’étaient déjà posées en rupture des modes de transmission et d’acquisition du savoir précédents, n’aura jamais été aussi approprié et nécessaire.

Les problématiques et les enjeux sont multiples et solidement nouer les uns aux autres. Nous tenterons modestement de participer un peu au débat et d’apporter quelques pistes de réflexion, conscients qu’un tel sujet est beaucoup trop vaste et complexe (et brûlant !) pour s’improviser.

A l’instar d’un MOOC d’approche « connectiviste » (nous verrons de quoi il en retourne précisément..) et parce que nous nous voulons fermement ancrés à notre époque (!), il sera d’ailleurs question de nous faire plutôt « agrégateur » de contenu ; l’essentiel des questions soulevées trouveront réponse au fils de liens hypertextes qui jalonneront ce dossier…

 

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* Les amoureux de la langue française préfèreront le terme de CLOM (Cours en Ligne Ouverts et Massif) ; d’autres encore, dans une volonté de rupture, auront plutôt recours aux DOOC (Distributed Open Online Courses) et COOC (Contributive Open Online Courses) ; enfin les plus intimistes choisiront les SPOC (Small Private Online Classes)… Un débat de chaque instant, donc !

 

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Dragon Ball : 25 rendus ZBrush

Bulma

Le récent challenge de Fan Art autour du l’univers Dragon Ball a permis de faire émerger des talents de de superbes rendus 3D réalisés grâce à ZBrush. Pour l’occasion, voici un petit best of des meilleurs rendus 3D liés à Dragon Ball :

Comment réaliser ce type de rendus 3D ?

Vous vous demandez certainement comment vous aussi vous pourriez atteindre un tel résultat ? C’est possible ; venez suivre une formation sur ZBrush concoctée par un des experts présents sur Tuto.com pour apprendre à maîtriser ce logiciel de sculpture 3D. Du débutant au niveau avancé, vous trouverez votre bonheur !

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PSD gratuit : Alexey Samsonov

PSD Alexey Samsonov

Alexey Samsonov et Fotolia vous propose pour 24h ce fichier PSD gratuit. Nommé Island ce PSD est une invitation au voyage : « J’étais en partance pour Bali lorsque Fotolia m’a proposé de participer au projet TEN. C’est de là qu’est venue mon inspiration. J’avais envie de partager ma destination en dessinant l’île où j’allais me rendre, telle que je me l’imaginais. ». Rien de mieux qu’une île pour débuter ce mois de juillet !

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Tutonovelas : témoignage #1

Premier billet d’une petite série consacrée à notre appel à témoin facebookien : nous avons voulu (et voulons ; prenez ça comme une invitation !) savoir ce que Tuto.com vous a apporté dans votre vie professionnelle ou personnelle (si rien de trop intime).
Plus précisément, si les formations suivies sur Tuto.com vous ont permis de trouver de nouveaux clients, gagner votre indépendance créative, lancer une nouvelle activité, vous voir approcher par les meilleures agences web et studios de création du moment, botter les fesses de la concurrence, ou tout simplement kiffer la vie, etc. En gros, nous raconter cette romance d’aujourd’hui, comme Michel Fugain, jadis, nous racontait la sienne. Juste entre vous et nous…

Et puis, c’est aussi l’occasion, pour nous, de vous rendre hommage.

(suite…)

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Lightroom 5 : les backstages

La sortie de Lightroom 5 ne vous aura certainement pas échappée ; la chaîne de tuto Lightroom 5 est déjà bien pleine. L’occasion pour nous de revenir sur le packaging de cette nouvelle version. C’est le studio californien Tolleson qui a été chargé une nouvelle fois (le studio avait déjà été chargé de l’identité graphique de la CS6, Lightroom 4 et du Creative Cloud) de poser l’ambiance de la suite CC et notamment de Lightroom 5.

Voici une petite vidéo sur les backstages de ce shooting photo :

L’équipe s’est chargée de créer une structure composée de tubes à Led pour former les initiales de Lightroom (le L et le R). Cette structure est censée illustrer la manière dont la lumière transforme la perception et influence l’expérience visuelle.

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