Marvelous Designerest un outil complet spécialisé dans la gestion de tissus réalistes en 3D. L’outil relativement récent (édité par une société coréenne), est très en vogue depuis quelques mois. Marvelous Designer propose des outils de modélisation, d’animation et de simulations de physiques, qui vous permettront de réaliser tout ce qui touche de près ou de loin aux tissus : habit en tout genre, nappe, drap, couette, oreiller, rideaux (…). L’avantage de ce logiciel est de proposer des outils spécialisés sur les tissus qui vous permettront de jouer avec les matières, les textures et leur comportements physiques. Vous pourrez ainsi simuler au sein même de Marvelous Designer, un rideau qui flotte dans le vent, un jet de nappe sur une table, ou un mouvement de drap dans un lit.
Le logiciel est déjà très utilisé dans l’industrie du jeu vidéo, du cinéma (The Hobbit) et de la mode (idéal pour un styliste d’imaginer une collection et son défilé – le logiciel propose notamment l’export des patrons)
Marvelous Designer fonctionne de paire avec tous les outils 3D du marché (ZBrush, 3ds Max, Cinema 4D, Blender, Maya…) grâce à son export en .obj et voici ce que vous pouvez obtenir lorsque vous mariez les logiciels entre eux (ici 3ds Max, ZBrush, Marvelous et VRay pour le rendu) :
Vous l’aurez compris, si vous avez un projet qui nécessite de faire appel à du tissu, alors, on vous recommande chaudement l’utilisation de Marvelous Designer. Une démo gratuite de 15 jours est disponible sur le site. Le logiciel est valable en abonnement (à partir de 19,99$ par mois) ou en version complète (à partir de 399,99$). Au moment où j’écris de billet la dernière version du logiciel est Marvelous Designer 3. Des versions Mac et PC vous seront proposées. Cerise sur le gâteau, le logiciel existe en français !
Tuto et Formation Marvelous Designer :
Vous souhaitez découvrir et vous former sur Marvelous Designer ? Cela tombe bien nous avons une chaîne de formation et des tuto Marvelous. Le premier tuto est une formation Marvelous complète proposée par Wizix. Idéale pour débuter sur le logiciel et acquérir de bonnes bases. D’autres sont en cours de préparation.
Voici un tuto Cupcake en vidéo qui vous ne laissera certainement pas indifférent. Les Cupcakes sont de petits gâteaux cuisinés à base de beurre, sucre, farine et œuf. Également appelés fairy cake, le cupcake est très prisé par la gente féminine. Ces derniers ont été remis au goût du jour dans les années 2000 (notamment grâce à la série TV Sex and the City). A l’origine, le cupcake est apparu dans les années 50, aux états-unis et permettait à la ménagère de briller en société lors de gouter d’anniversaire, à Noël et dans d’autres occasions festives.
De nombreuses recettes et tuto de cupcake peuvent être glanés sur le net, mais vous n’en trouverez pas de ce genre. Ce tuto vidéo a d’ailleurs tapé dans l’oeil de Canal+ et le show a été intégré dans le Grand Journal, sous le nom : Les Tutos.
Découvrez l’abonnement Creative Cloud pour photographes. Vous êtes photographe, amateur ou professionnel ? Adobe vient d’annoncer la mise à disposition d’un nouvel abonnement Creative Cloud, spécialement pensé pour vous. Si vous possédez une version de Photoshop (au moins CS3) alors vous allez pouvoir bénéficier pour 9,99$ par mois seulement, de :
Voici un nouveau chantier qui se termine. Nous avons remodelé l’espace d’aide de tuto.com. Pour cela nous nous sommes appuyés sur une solution existante. Autant éviter de ré-inventer la roue, surtout lorsque des solutions de qualité existent, avec des équipes dédiées. Techniquement rien d’impossible à surmonter, oui mais voilà, comme beaucoup d’entreprises, il nous manque cruellement de temps. Nous avons donc opté pour UserVoice.
Les avantages du nouvel espace Aide
Plus clair : vous le savez sans doute, nous travaillons sur la V3 du site, qui aura un design clair, nous prenons donc un peu d’avance avec cette partie.
Un formulaire de contact intelligent : désormais lorsque vous utilisez le formulaire de contact, on cherchera automatiquement à vous proposer une solution avant même que vous ayez eu le temps de valider le formulaire. Le système cherche en effet à résoudre votre question grâce à notre FAQ (qui viendra s’enrichir de jour en jour).
Un support plus rapide et plus efficace. Le grand intérêt d’utiliser ce type de solutions c’est que tout est centralisé en un seul endroit, peu importe que vous ayez posé votre question par mail, via le player, ou via l’espace d’aide. Chaque membre de l’équipe en charge du support peut accéder à votre historique, ce qui permettra d’obtenir des réponses plus rapides qu’avant. Côté FAQ, l’indicateur de pertinence d’une réponse, nous aidera à savoir si nous devons reformuler ou compléter une réponse pour la rendre meilleure.
Responsive : l’espace aide s’adapte à la taille de votre écran (ordinateur, tablette, smartphone).
Tout un tas de choses que vous ne pourrez pas voir, mais Rémi a réellement fait du super boulot du côté de l’API uservoice et l’API tuto.com. On peut dire qu’on a réellement utilisé tout le potentiel de Uservoice pour l’occasion.
Oyé Oyé. Membres du Creative Cloud, voici une mise à jour pour Dreamweaver CC
Nouvelle fenêtre de « Live View » : la fenêtre de pré-visualisation, adopte un nouveau moteur de rendu, qui affiche les mêmes performances que Google Chrome. Plus besoin donc de basculer entre Dreamweaver et un navigateur pour tester votre code ou design.
Le Live « Highlight » surligne en temps réel le lien entre un élément HTLM depuis la « Live View » et vos sélecteurs CSS (un peu comme le fait l’extension Firebug).
La synchronisation des préférences (« Sync Settings ») fait son apparition (tout comme pour Indesign la semaine dernière)
Quelques améliorations autour du « CSS Designer » (à l’image d’un nouveau sélecteur de couleurs, plus efficace)
Des améliorations visuelles de mise en évidence de votre code dans la fenêtre « Code View ».
Enfin, la mise à jour de PHP 5.4 et jQuery Mobile 1.8.3.
Une mise à jour pour Indesign CC (l’édition réservée aux abonnés de Creative Cloud) est disponible. Il vous sera désormais possible de synchroniser dans le Cloud d’Adobe tous vos paramètres :
raccourcis clavier
pré-réglages
espace de travail
Cette nouveauté appelée « Sync Settings » ravira donc tous les travailleurs nomades (comme moi) qui pourront retrouver les mêmes conditions de travail, peu importe la machine utilisée.
Le Intuos Creative Stylus est un nouveau stylet pour iPad proposé par Wacom. Clairement positionné haut de gamme (99,90€), le Intuos Creative Stylus propose 2048 niveaux de sensibilité à la pression, tout en ignorant le contact de votre paume de main (ce qui, avouons-le, arrive relativement souvent lorsque vous dessinez sur tablette).
Comme tout véritable stylet Wacom qui se respecte , vous pouvez configurer des boutons de raccourci. Le Intuos Creative Stylus supporte une inclinaisons de +/- 45 degrés. Wacom annonce plusieurs jours d’autonomie en utilisation constante (150 heures pour être précis).
Voici donc un outil professionnel, léger (25 grammes) pour dessiner librement sur de nombreuses applications déjà compatibles : SketchBook, ProCreate, Artrage, Bamboo Paper, ArtStudio, Inkist, Flipnk et prochainement Adobe Ideas, Psykopaint et Vision Object Notes. Le tout que vous soyez droitier ou gaucher.
Ce stylet fonctionne avec un iPad Mini, iPad 3 et iPad 4, en Bluetooth. Il est proposé en deux coloris : noir et bleu. Ce stylet vous sera livré avec un étui permettant de transporter dans son sac ou une poche le stylet, des pointes de rechange et une batterie supplémentaire.
Pré-commandez votre Intuos Creative Stylus sur Tuto.com
En tant que revendeur officiel Wacom, nous vous proposons de pré-commander dès aujourd’hui ce stylet Wacom pour iPad. Pour l’occasion nous vous offrons 10 crédits tuto.com (valeur 12,90€) pour tout achat d’un stylet Intuos Creative Stylus avant le 15 septembre.
Plus que l’objet MOOC, au sens propre, c’est plutôt la résultante d’un certain nombre d’évolutions technologiques (audience connectée et accessible via les réseaux sociaux ; diffusion de ressources facilités ; solutions techniques pertinente), l’émergence de nouvelles formes de pédagogie et les perspectives qu’elles offrent qu’il faut ici considérer.
Car, les MOOC ne sont pas l’expression définitive et immuable d’un enseignement réinventé ; du moins tel que l’envisagent déjà certains acteurs privés ; ou encore, comme le laisse penser parfois certains tenants du débat qui fait rage. Ils constituent surtout un vaste champ d’expérimentations qui ont pour objectif de redéfinir les cadres d’apprentissage, aussi mouvants soient-ils, dans un monde hyper connecté qui autorisent, dorénavant, un partage et une participation active de l’apprenant à l’enseignement dispensé ; lui-même pluriel, ouvert et soumis [nécessairement] à controverse, selon le sens donné par Bruno Latour et Dominique Boullier (voix dissidentes dans ce débat).
S’élever dans la controverse
Pour ce dernier, l’enseignement des controverses (dont vous trouverez ici l’une des illustrations) est le seul à permettre l’appropriation des éléments clés de savoirs parfois très complexe et l’exploration de l’immense champ des connaissance désormais disponibles sur les réseaux ; d’en saisir la diversité des sources et des interprétations et d’être capable, au terme de ce processus, de se façonner une opinion pleinement consciente et libre : la mise en situation ou l’expérience concrète comme fondement de tout apprentissage. Autant que peut l’être la sollicitation de chacun de nos sens dans le travail de la mémoire.
Attention modifiée
Ceci pose les principes de la pédagogie active, les bases d’un enseignement distribué et collaboratif, assez proche finalement des méthodes connectiviste sur lesquelles s’appuient les cMOOC, capable d’offrir une tentative de réponse pertinente à ces nouveaux enjeux éducatifs. Parmi lesquels, la capacité, d’une part (comme déjà évoqué) à établir des connexions entre les différents champs du savoir, plaçant le méta-apprentissage au centre de la démarche. D’autre part, la question de la dynamique relationnelle et du lien social nécessaire à l’épanouissement des individus (en considérant son éventuelle dissolution dans un contexte spatial décentralisé).
Enfin, un mode d’apprentissage adapté aux générations actuelles qui, dans ce contexte technologique de surabondance des données et de multiplication des moyens d’y accéder, ne connaissent, n’intègrent, ne synthétisent ni ne consomment l’information comme les précédentes. Et impose de trouver les solutions techniques et méthodologiques pour capter cette attention modifiée. Non que celle-ci est moins importante ou défaillante mais « plus extensive et multiplexée et moins intensive et focalisée sur des objets uniques », selon Dominique Boullier. Presque un nouveau langage. Pour de nouvelles structures narratives.
Littératie Digitale
En jeu, dès lors, la nécessité qu’ont ces mêmes générations à s’approprier les techniques spécifiques leur permettant de produire et comprendre ce nouveau langage et de mettre en perspective le contexte technologique dans lequel elles évoluent ; entendu que celles-ci ne doivent se substituer à l’acquisition des savoir-faire élémentaires telles que la pédagogie transitionnelle le propose (dispositions intellectuelles et pratiques, capacités générales de raisonnement et d’analyse) mais s’y adosser, en être une forme de prolongement rendant compte des évolutions anthropologiques et sociales.
En gros, quatre axes à envisager comme des pré-requis indispensables (ou littératie digitale, de l’expression proposée par Francois Pisani et Dominique Piotet dans « Comment le web change le monde ») : l’apprentissage des outils numériques et des technologies web (qui renvoie, d’ailleurs, à la confusion entre le comportement, l’usage relativement stéréotypés et le peu de maîtrise réelle de ces outils par les générations actuelles), des différentes formes d’écriture (web, vidéo : « Nos outils d’écriture participent à l’éclosion de nos pensées » – Nietzsche), des principaux langages de programmation dans un monde de plus en plus soumis aux lois du numérique ; le contrôle de son identité numérique ; ou encore la culture de l’image (son contenu, son sens, son contexte), omniprésente et devenue le canal de communication privilégié de nos sociétés, quelque soit son format.
Signes effectifs d’échec
Sur ce dernier point (cette question n’est pourtant pas nouvelle), les institutions semblent, jusqu’à présent, avoir échouée.
D’ailleurs, cet échec autorise et perpétue, précisément, ce spectacle navrant où se confondent, dans la perte totale du sens, le divertissement, la politique et la publicité (les marchands de symboles ; saviez-vous, par exemple, que Lu, « créateur de biscuit depuis 1846 », ouvrait le champ des possibles ?!) ; Trinité de nos sociétés contemporaines dont le « temps de cerveau disponible » de Patrick Lelay en serait la parole révélée… Lui-même a déjà pris la pose !
Autant qu’une grille de lecture, c’est développer également une conscience et responsabilité citoyenne qui semblent totalement étouffer par cet asservissement quotidien sur la pensée.
L’apprentissage mixte
Pour l’heure, les expérimentations et l’abstraction théorique se confrontent au principe de réalité (application concrète à l’orée des premières utopies !). Dès lors, la question des MOOC et, plus largement, celle des TICE (Technologies de l’Information et de la Communication pour l’Enseignement), tend également à engendrer des formes pédagogiques hybrides. Ou à en démocratiser la pratique, du moins.
Parmi elles, la pédagogie inversée consiste ainsi à fournir aux étudiants un ensemble de ressources (vidéos, lectures diverses, recherche d’informations) en amont du cours ; cette première phase d’apprentissage, réalisée de façon autonome et proactive, permet de réserver le temps d’enseignement à l’encadrement, l’interaction (avec l’enseignant et entre les apprenants eux-mêmes), l’approfondissement et la manipulation de notions complexes et la co-création de contenu. Les cours magistraux, par exemple, deviennent des lieux de débats ou des espaces collaboratifs dédiés à la recherche et aux travaux pratiques, permettant l’acquisition directe de connaissances liées à l’extrémité supérieure de la taxonomie des objectifs éducationnels de Bloom(pour les plus curieux !) : les capacité d’analyse, de synthèse et d’évaluation (des autres et de soi-même). Cette dernière renvoyant, par ailleurs, au mode d’évaluation par les pairs ; rendant possible sa mise en œuvre (ce point sera abordé dans la prochaine partie du dossier).
La pédagogie inversée est déjà largement appliquée dans d’autres pays (Etats-Unis, Canada) ou contextes plus spécifiques (préparation du concours d’internat en médecine, formation professionnelle dispensée par l’AFPA notamment). Le retour d’expérience semble prometteur : une augmentation de l’assiduité (20%) et du taux de réussite (33%) des élèves américains constatée. De même que les premières expériences, sous forme d’apprentissage mixte, entre la San Jose State University et edX (plate-forme de MOOC fondée par le Massachusetts Institute of Technology et l’Université de Harvard) semblent également donner des résultats concluants. Selon les mêmes dispositions, les étudiants suivaient les cours magistraux d’électronique sur edX (MITx 6.002x Circuits and Electronics) et réservaient le temps de classe pour résoudre des problèmes et poser des questions aux enseignants. Le taux de réussite aux examens ont augmenté considérablement (de 55 à 91%) – (Les MOOC déshumanisent-ils l’enseignement ?, Matthieu Cisel).
Y a encore du taff !
En France, les expérimentations tiennent davantage de l’ébauche ! L’exception culturelle française ; cette incapacité aussi de se saisir des questions actuelles et être partie prenante des enjeux de demain (ceci quelque soit le domaine)…
Quelques chiffres sur la situation de l’accès à la connaissance et à l’emploi, en France (source MESR, avril 2013) : 38% des jeunes, seulement, issus de parents ouvriers et employés, 70% de ceux issus de niveaux d’instruction supérieurs (professions libérales, cadres, enseignants), 3/10 étudiants abandonnent le cursus universitaire, 1/3 sortent sans diplôme ; taux de chômage des moins de 25 ans : 25,7%.
Et ce ne sont que quelques indicateurs témoignant des défaillances du système éducatifs français et son impossibilité à offrir l’égalité des chances sensée constituer l’un de ces fondements. Celle-ci n’existe pas (et n’existera jamais) dès lors que cohabitent enseignement public et privé ; ce dernier discriminant de nature et veillant, de par les modes et les critères de sélection, la précocité du choix d’orientation ou le peu de moyens et d’intérêt accordés à la formation continue (pas de seconde chance possible après interruption des études), au maintien d’une caste dirigeante et des couches sociales privilégiées. Bref, y a du taff pourtant…
Nous avons pris la décision de tester en avant-première le système de panier et de paiement que nous avons prévu pour la v3 du site, persuadés que ces derniers seront bien plus efficaces qu’actuellement.
Voici ce qui change :
Le design
Le système de panier et l’achat de crédits se font désormais sur fond clair. Il en ressort un sentiment de clarté (assez évident) donc certainement plus rassurant. Ce panier est également plus simple d’utilisation. Moins de friction = plus de transformations sur le site (enfin on espère ^^).
Le paiement CB intégré au site
Désormais, pour un paiement par carte CB, vous ne sortirez plus de tuto.com. Avant, vous atterrissiez sur une page bancaire assez laide (nous utilisions Merc@net, la solution de BNP Paribas, mais c’est un peu le même constat chez les autres banques). En plus d’être laides et externes à votre site, les solutions bancaires vous obligent à utiliser le 3D Secure. Un système censé vous protéger, mais qui a un impact très négatif sur les taux de transformation du e-commerce. Le 3d Secure, pour ceux qui ne savent pas trop de quoi il s’agit, c’est ce système qui vous demande par exemple de saisir le code reçu par SMS (vous avez intérêt à avoir votre portable sous la main), d’indiquer votre date de naissance ou encore à saisir un code issu d’une grille ou d’un boitier fournis par votre banque. Bref une étape additionnelle, assez agaçante pour l’utilisateur et un cauchemar pour le e-commerçant. Le 3d Secure part pourtant d’une bonne idée, mais n’est pas optimisé.
Nous avons donc cherché un solution et opté pour Be2Bill (j’y reviendrai dans un instant) qui permet de mettre en place des scénarios de déclenchement du 3D Secure.
Mise en place du https
Puisque nous intégrons au sein même de notre site, la gestion du système CB, nous avons du nous munir d’un certificat SSL et pas n’importe lequel. Nous avons opté pour un certificat de type EV (reconnaissable à la barre verte qui apparait sur vos navigateurs). Nous avons acquis ce certificat chez Comodo. Cet organisme s’est chargé de vérifier notre identité (par le biais d’un avocat), notre existence bancaire, le santé de l’entreprise, notre adresse physique, garantissant ainsi aux clients l’exactitude des informations relatives à Weecast. A noter que ce certificat SSL sera déployé sur l’ensemble du site lors du passage à la V3.
Option achat « one click »
Il s’agit d’une option. Vous avez désormais la possibilité de mémoriser votre carte CB au moment d’un achat. Je vous rassure tout de suite, Tuto.com NE CONSERVE PAS LES DONNÉES BANCAIRES EN INTERNE. C’est la société Be2bill (groupe Rentabiliweb) qui se charge de cela.
Un mot sur cette société. Il s’agit d’un établissement de paiement agréé par l’Autorité de Contrôle Prudentiel (code banque : 16378 / numéro d’agrément N° 16378C) et membre du GIE Carte Bancaire. En plus de l’agrégation Banque de France de ce partenaire, cet établissement bancaire respecte scrupuleusement la norme PCI-DSS qui concerne les échanges de données de paiements.
Paypal Express Checkout
On en a profité pour mettre en place Paypal Express Checkout, qui est un panier Paypal encore plus rapide d’utilisation.
Ce qui ne change pas :
Tout le reste ! Vous avez toujours la possibilité de ne payer que la somme de crédits souhaitée (en passant par le panier) ou bien des packs de crédits seuls (en passant sur la page dédiée).
Afin de tester ce nouveau joujou, nous avons mis en place une petite promo sur un pack (celui de 100).
Si vous avez des retours, idées ou suggestions, vous pouvez le faire en commentaire de cet article ou bien directement sur la boîte à idées.
L’opération Ten de Fotolia vous réserve une petite surprise aujourd’hui. Ce n’est pas un PSD mais un projet AEP (After Effects) que vous pouvez télécharger gratuitement, pendant 24h. Ce projet très motion design est signé de l’artiste Lydia Baillergeau.
Le projet Toast to Inspiration à télécharger
L’interview vidéo de Lydia Baillergeau
Découvrez Lydia en vidéo
Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Je m’appelle Lydia Baillergeau. Je suis motion designer freelance. J’habite à Oakland en Californie et je travaille à San Francisco.
Parlez-nous de votre formation : avez-vous suivi un parcours universitaire ou êtes-vous autodidacte ?
J’ai toujours dessiné, griffonné, imaginé et crée aussi loin que je m‘en souvienne. Depuis mon plus jeune âge, j’ai toujours eu pour ambition de travailler dans le secteur du design. J’ai donc décidé de faire mes études en Graphic Design et j‘ai obtenu mon BFA. Après l’université, j’ai travaillé comme designer dans une petite entreprise. Suite à un parcours tumultueux, j’ai décidé de retourner sur les bancs de l’école pour étudier le motion design. J’ai en effet toujours cherché à représenter mes idées en mouvement. Lorsque j’illustrais des articles de journaux, j’imaginais les éléments s’animer, aller et venir sur la page… Le motion design vous permet de créer et d’envisager 24 ou 29 séquences au lieu d’une seule et c’est ce que j’adore !
Travaillez-vous au sein d’une agence ou en tant que Freelance ? Et pourquoi ?
Je travaille actuellement pour l’agence LaunchSquad en tant que responsable design. Le soir, j’essaie de dégager du temps pour des projets personnels. En agence, j’aime le travail en équipe autour de la création d’un concept. Les personnes qui m’entourent ont chacune leur expertise en motion design ce qui me permet d’apprendre énormément sur le sujet. On se stimule les uns les autres.
J’aime aussi travailler en freelance mais je suis très sélective sur les projets qu’on me soumet !
Quel a été votre parcours dans l’illustration digitale ?
J’ai commencé par la Suite Adobe Creative hardcore, lors de ma deuxième année de BFA. Avant je créais tout à la main avec un crayon à papier, un stylo, de la peinture…au début le passage au numérique a été dur mais au final les possibilités sont infinies et ça m’a permis de m’ouvrir davantage au monde.
Quelles sont vos influences ?
Tout ! La musique, la nature, les amis, les expériences (positives et négatives). Lorsque je ne me sens pas créative, je décide de m’aérer l’esprit: sortir, voir un beau paysage, tester un nouveau restaurant, aller voir un ami…
De nombreux artistes m’inspirent également; pour n’en citer que quelques-uns: Kyle Cooper, Karin Fong, Karin Rosenthal, Monet, Gregory Crewdson, Walter Murch.
Vos influences et vos sources d’inspiration ont-elle un impact direct sur votre style et votre travail?
Je crois que tout ce que nous créons est en rapport avec nos expériences et nos influences. Mais j’ai été influencée par des artistes issus d’autres domaines. Par exemple, j’aime bien la façon dont Kyle Cooper a réussi à créer autant de séquences de titres en utilisant des méthodes de compositions pratiques et organiques.
Comment définissez-vous votre style ?
Mon style est très ancré dans la notion de concept. Je pense qu’il est essentiel de tout articuler autour de l’idée et de l’histoire. Si vous faites quelque chose en rose, vous devez très précisément savoir pourquoi vous avez choisi cette couleur. J’aime dire que mon style évolue. Je veux constamment apprendre, grandir et tester de nouvelles choses.
Quelle est le mot qui vous définit le plus ?
Éclectique
Pouvez-vous nous décrire votre méthode de travail pas à pas ?
Tout repose sur le concept.
Je définis le concept et réalise un canevas de l’histoire pour le choix des visuels.
Parfois, ceci implique un brainstorming stratégique ou un travail spécifique avec le concepteur rédacteur et le cinéaste. Nous pouvons passer un long moment avec le client afin d’établir le message et le ton.
Je crée des styles de cadres stratégiques, en me basant sur une structure déjà établie. Ici, j’ai commencé à regarder des images, à créer des graphiques, à effectuer des mises en page afin d’avoir une idée générale du style et du ton à adopter. Parfois je fais plusieurs déclinaisons afin de choisir la meilleure direction à suivre pour le client.
Je conçois le storyboard minutieusement en définissant toutes les transitions. Souvent, je dessine très rapidement, tellement vite qua ça devient incompréhensible ! Personne ne sait ce que je dessine mais ces petits croquis sont des simples notes personnelles pour la réalisation des images finales.
Je commence l’animation en plusieurs étapes. 1ère étape: Disposer tous les éléments, les animer en utilisant After Effects. 2ème étape: Peaufiner l’animation et ajouter des animations secondaires.
Quels sont les clients pour lesquels vous préférez travailler ? Pourquoi ?
Les clients ouverts aux nouveautés et qui font confiance à ma capacité à répondre aux messages et objectifs définis.
Quels sont vos projets pour les prochains mois ?
Avant tout, l’animation motion design pour le projet TEN by Fotolia, ensuite la création d’une animation typographique pour une série de courts-métrages destinée au secteur alimentaire, puis toute une série d’animations pour les clients de LaunchSquad, et je l’espère, une création pour les confiseries Jello.
Est-ce important pour vous de continuer à travailler sur des projets personnels en dehors de vos obligations professionnelles ? Pourquoi ?
Absolument mais c’est parfois difficile de trouver le temps nécessaire lorsqu’on est totalement accaparée par des projets professionnels. Je trouve qu‘il est toutefois important de s’investir dans des projets personnels pour mieux suivre les tendances et tester de nouveaux outils.
Vous venez d’un pays où la culture et l’histoire sont riches et profondes, cela vous influence-t-il ?
Les États-Unis sont un modèle multiculturel et notamment San Francisco. On y découvre différentes cuisines, diverses cultures se côtoient comme différents types d‘art. Tous ces éléments influencent incontestablement ma façon de penser.
Pensez-vous que, si vous aviez grandi dans un environnement différent / culture / pays, votre style et votre travail le seraient aussi ?
Oui, sans aucun doute. Si j’étais née ailleurs qu’en Californie, mon travail et mon style seraient probablement différents. L’expérience est primordiale pour façonner une personne et son style.
Pourquoi avez-vous rejoint le projet TEN?
Parce que c’est une formidable opportunité de pouvoir partager ma passion auprès de la communauté créative du monde entier.
Quel est votre avis sur la créativité ?
Tout le monde est créatif. Vous pouvez trouver un moyen créatif pour résoudre une équation de maths, faire un gâteau, résoudre un conflit ou dessiner une personne. Notre inspiration vient de ce qui nous entoure et de nos expériences. Cela nous aide à élargir nos idées et trouver de nouvelles sources d’inspiration.
Quelles sont pour vous les qualités clés pour un graphiste ?
La patience, la persévérance comme la volonté de communiquer une émotion ne suffisent pas. Pour un motion design magnifique, il faut une histoire magique.
Quel serait votre conseil aux jeunes artistes qui voudraient suivre votre exemple ?
Brainstormer, faire des croquis, articuler son travail étape par étape. Faire autre chose puis revenir sur son travail un peu plus tard. Vous aurez ainsi un nouveau regard sur ce que vous avez crée. Il vous arrivera parfois d’effacer votre création pour prendre une nouvelle direction artistique, et certaines fois, vous serez convaincu d’avoir pris la bonne voie.
Parlez-nous de vos outils préférés: (périphériques, logiciels …)
Je suis une grande fan d’Illustrator. Illustrator est un merveilleux outil car je peux faire plusieurs « art boards » et storyboard, du début à la fin, tout en animant des vecteurs. Ce logiciel m’aide vraiment à réaliser et à visualiser mon animation dans son ensemble. Je peux voir comment les couleurs et les design seront utilisés tout au long de l’animation, et m’assurer que les éléments sont visuellement cohérents, dynamiques et originales.
Quel sentiment ou idée, avez-vous l’intention de transmettre à travers votre création?
Je voulais créer une petite animation en hommage au processus créatif. C’est quelque chose que j’expérimente chaque jour. La création et l’inspiration sont deux éléments magiques. C’est pourquoi, j’ai voulu les représenter à travers l’utilisation d’étoiles scintillantes, de lumières éclatantes et d’images éthérées.
Qu’est-ce qui a motivé ce choix?
Il y a peu de temps de cela, l’équipe créative avec laquelle je travaille est arrivée avec le concept d’un toast au processus créatif. Nous avons passé des heures à brainstormer pour savoir comment trouver la bonne idée puis notre rédactrice Leah Shesky, a pris sa plume pour rendre un bel hommage à la créativité. Je me suis donc dit que ce serait amusant de créer une petite animation sur cet axe.
Le brief de Fotolia a fait appel à la liberté de création. Aimez-vous travailler en suivant des directives artistiques définies, ou préférerez-vous avoir carte blanche?
Avoir carte blanche est la chose la plus merveilleuse que l’ont peut avoir. De cette façon, vous pouvez définir votre propre direction artistique. Vous pouvez vraiment choisir de suivre ce qui vous parle, ce qui vous inspire et ce qui vous motive. J’ai réellement appréciée avoir mes propres lignes directives pour cette animation.
Votre travail révèle plusieurs niveaux de profondeur : pouvez-vous expliquer les différentes «couches» qui le composent?
En animation, je pense qu’il est important d’avoir toujours plusieurs niveaux. Les animations secondaires, plus subtiles, ajoutent des niveaux de profondeur et de détails qui entretiennent l’intérêt de la personne qui les regarde. Techniquement, ça implique beaucoup de pré-composition, d’effets empilement et de calques de réglage.
Avez-vous plus d’information ou “astuces” à révéler sur votre travail et les techniques que vous avez utilisées pour le créer ?
Le pinceau d’Illustrator est un outil très puissant pour les compositions organiques. Vous pouvez prendre une illustration vectorielle, comme ce poisson de Fotolia, l’ajuster, puis en faire un pinceau. Ensuite, vous pourrez en tirer une animation séquentielle, qui aura beaucoup de caractère. Vous pouvez également importer l’ensemble de ces couches dans l’After Effects et choisir leur ordre afin de créer un effet d’enchainement naturel pour votre animation. De plus, avoir des lignes de plus en plus épaisses, des couleurs de plus en plus sombres, aide vraiment à garder une conception visuelle attrayante et ajoute de la profondeur à votre animation. Pour cela, j’aime utiliser le dégradé sur la fonction « contour ». Les calques de forme dans l’After Effects sont étonnants pour l’animation. Je les utilise beaucoup pour les animations en second plan. J’importe simplement mes fichiers Illustrator – comme l’ampoule électrique, je crée des formes à partir du calque de vecteurs et j’automatise l’animation avec les propriétés du calque de forme.
Vous incorporez divers médias dans votre travail (3D, dessins, images, vecteurs …) : pouvez-vous nous en dire plus à ce sujet?
Ce fichier utilise des animations séquentielles en Flash, beaucoup de vecteurs graphiques, et un court-métrage 3D. L‘utilisation des éléments fait main avec des éléments numériques donne un beau contraste. J’ai édité des images vectorielles que j’ai téléchargées sur Fotolia pour les aider à mieux s’intégrer dans mon design. C’est une bonne façon de travailler parce que vous pouvez gagner du temps et éviter d’avoir à dessiner tout cela. J’ai modifié les vecteurs en changeant leurs couleurs. Pour ajouter une texture naturelle au canevas des scènes, j’ai utilisé des tons mats alpha et luma dans les Afters effects. J’aime explorer ce style dans mes transitions.
Utilisez-vous vos techniques habituelles ou en expérimentez-vous de nouvelles?
J’ai essayé de réaliser une animation séquentielle avec Flash pour créer des projections sur le verre de champagne. Pour cela, j’ai simplement importé mon fichier After Effects dans Flash et dessiné les éclaboussures image par image.