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Tout savoir sur Lightroom Mobile

Adobe Lightroom Mobile

Lightroom Mobile vient de sortir !

Lightroom Mobile est une application mobile pour iPad qui représente le parfait compagnon des photographes utilisant déjà Lightroom.  Grâce à Lightroom Mobile, vous pouvez désormais retrouver certains outils de Lightroom sur votre iPad. Ainsi, vous avez la possibilité d’éditer vos photos (de la simple photo issue d’un smartphone, à un fichier RAW issu d’un appareil DSLR, des les organiser, de les partager et même de les synchroniser avec son grand frère Lightroom, sur votre ordinateur.

Cette nouvelle application iPad signée Adobe répond donc à un besoin grandissant chez les photographes : commencer le traitement d’images dans la foulée d’une séance de shooting. Bien entendu, Lightroom Mobile propose un traitement non destructif de vos photos et utilise le Smart Preview pour optimiser l’affichage de vos développements photos sur iPad.

Toutes les fonctionnalités de Lightroom Mobile :

  • Synchronisation des retouches, des méta-données et des collections vers Lightroom 5 depuis Lightroom Mobile
  • Importation automatique des images prises avec votre iPad et synchronisation de ces mêmes photos avec un catalogue Lightroom 5
  • La retouche des vos images, même lorsque votre iPad n’est pas connecté à Internet
  • Syncrhonisation des photos entre Lightroom 5 et Lightroom Mobile

Qui peut bénéficier de Lightroom Mobile ?

Tous les utilisateurs du Creative Cloud et du programme de Photographie (qui regroupe Photoshop et Lightroom pour le prix attractif de 12,29€ par mois) auront automatiquement accès à cette application iPad. Il vous faudra à minima d’un iPad 2 avec iOS7 pour récupérer Adobe Lightroom Mobile sur l’Appstore. Côté synchronisation, vous devrez avoir Lightroom 5.4 (une mise à jour est proposée pour permettre la communication entre les 2 application) sur Mac ou PC. Notez enfin qu’une version pour Android et iPhone seraient actuellement en développement.

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3ds Max 2015, les nouveautés

3dsmax2015

Autodesk (AutoCad, Maya, Mudbox, MotionBuilder, SketchBook Pro) vient de dévoiler les nouveautés de la version 2015 de 3ds Max. On saisie l’occasion pour vous les dévoiler à notre tour et maintenir, ainsi, le flux perpétuel d’informations.

A l’heure du web participatif où il est de bon ton et quasi vital pour certains analystes des nouveaux nouveaux mondes, d’intégrer la puissance du social dans son propre développement et celui de ses produits, l’éditeur semble avoir largement sollicité ses utilisateurs au développement de cette dernière version (votes, réunion clients, conseil consultatif, etc.). Un peu comme le fait Adobe (pour rester dans le même domaine) depuis la CS5.
On pourrait parfois regretter cet excès de « proximité » dans ce qu’engendre parfois la publicité et les champs de la communication en général, mais obligé de constater que les nouvelles injonctions du collaboratif, dès lors que celui-ci ne s’arrête pas à une simple opportunité marketing, profitent au plus grand nombre.

Aussi, 3ds Max version 2015 propose, parmi les nouveautés, quelques améliorations, longtemps attendues par les utilisateurs et dont on s’étonne toujours que l’équipe de développement n’y ait pas pensé avant, tellement celles-ci tiennent des évidences. Et qui attestent l’idée, assez juste, selon laquelle « small things can make a big différence ».

On se dit aussi, que, devant la perte de vitesse que connait 3ds Max ces dernières années (celle que nous avons nous-même constatée), au profil de logiciels comme Cinema 4D et ZBrush, plus intuitifs ou qui permettent une meilleure compatibilité avec d’autres environnements (After Effects, notamment, dans la cas de Cinema 4D), il devait urgent pour Autodesk de changer sa stratégie (rejoindre cette économie relationnelle) et d’offrir une version 2015 qui réponde aux évolutions du marché (de l’industrie des médias et du divertissement et du grand public).
Nous laissons le soin aux spécialistes de juger des avancées annoncées : de meilleures performances, un workflow et une gestion de projets massifs largement améliorés ou encore de nouvelles capacités de modélisation.

autodesk logo
autocad autodesk logo

Retenons, par ailleurs, que, dans sa nouvelle stratégie, l’éditeur aura également tenu à renouveler son image par gros lifting général de logo ; abandonnant enfin le style médaillon futuriste avec effets de chrome et clair-obscure (un futur révolu !). A se demander si la vraie nouveauté ne réside pas là, finalement.
Par sûr que ce nouveau choix esthétique résiste au cours du temps et aux tendances, mais ça fait quand du bien…

 

Au programme des nouveautés 3ds Max 2015 :

Quad Chamfer :

Le Quad Chamfer doit, en gros, contribuer à éliminer les pincements lors de la modélisation et vous éviter enfin de devoir les supprimer, un à un, manuellement

Gestion des scènes améliorée :

La nouvelle fonctionnalités de couche imbriquée permettant de gérer des scènes complexe et gestion facilité de l’espace de travail grâce un nouveau système d’ancrage de fenêtre.

Max Tune Ups :

Max Tune Ups vous donne la possibilité de préserver les UV pour les inset polygons ou encore la navigation adaptative dans le viewport.

ShaderFX :

ShaderFX est outil nodal d’édition de shaders, avec visualisation temps réel du résultat dans le viewport, permettant un workflow plus intuitif.

Outils de Placement :

3ds Max 2015 propose un nouveau système de magnétisme et d’alignement intuitif qui permet de positionner et orienter plus facilement les différents objets, entre eux et sur la scène.

Script Python :

Python va vous permettre de paramétrer 3ds Max en profondeur et contribuer à améliorer son intégration avec d’autres logiciels.

Améliorations de Populate :

L’améliorations de Populate permettent désormais un contrôle plus précis et de manière plus réaliste les personnages prédéfinis.

Meilleures performances du Viewport :

De meilleures performances, pour une interaction facilité avec les scènes et les objets.

Active Shade :

3ds Max 2015 prend désormais en charge Mental Ray et NVIDIA iray renderer dans l’aperçu du rendu.

Workflow amélioré :

L’éditeur de flux de particules s’appuie désormais un système identique à celui de l’éditeur de matériaux. L’interopérabilité avec Photoshop et After Effects a également été améliorée.

Support des nuages de points :

Le support des nuages de points offre un contrôle plus précis et facilité des données de tracking, capturées dans un environnement réel.

Caméra stéréoscopique :

Les fonctions de caméra stéréoscopique donne la possibilité de créer des plates-formes de caméra stéréoscopique avec modes d’affichage multiples (œil gauche, œil droit, centre, ou vues stéréoscopiques).

Pour plus de détails : launching 3ds Max 2015 version web et « What’s New in 3ds Max 2015 » version pdf.

 

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Red Giant Universe

Red Giant UniverseRed Giant Universe, est le nom d’une libraire construite autour des produits Red Giant. Sa spécificité : des mises à jour fréquentes, principalement conduites par les demandes de la communauté, des betas pour tester de nouveaux produits (…). Universe existe en mode gratuit et payant.

L’inscription gratuite vous donne immédiatement accès à de nombreux  outils (plugins, effets, transitions), qui pourront être à la fois utilisés sur Mac ou PC, sur les applications After Effects, Final Cut Pro, Motion, Premiere. Côté tarifs, vous retrouverez prochainement 3 formules d’abonnements (aux côtés de l’offre gratuite) : 10$ par mois, 99$ par an ou bien 399$ pour bénéficier de Universe à vie ! Pour ce prix là, vous aurez accès en plus à 19 outils premiums, 12 effets et 7 outils supplémentaires, en plus de toutes les updates qui viendront enrichir Universe.

Vous l’aurez compris, allez-vite vous inscrire à la beta, ça vaut réellement le coup !

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PSD gratuit de Eric Paré et Mike Campau TenS3E1

Ten saison 3

Eric Paré et Mike Campau sont les premiers artistes de cette saison 3 de Fotolia Ten et vous dévoilent les secrets d’une bonne création. Pour l’occasion, voici un nouveau fichier PSD gratuit

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Le Screencasting décrypté par Julien Pons

Le carnet du geek de Julien Pons

Vous devez commencer à le savoir : Julien Pons est une machine ! Une machine dotée, de surcroit, d’une pensée autonome ayant la caractéristique d’engendrer (dans le sens de « donner la vie » ; ce qui est déjà un premier paradoxe) un nombre incalculable d’idées. Des idées, menées, de surcroit [bis], à leur terme ; indécent !

En fait, Julien Pons, c’est un peu comme la version ultime d’un Hubot (de Real Humans), totalement affranchi de ce pour quoi il a avait été initialement programmé pour trouver sa complète émancipation dans l’abstraction de l’esprit et la créativité.
Un homme-machine qui aurait lu Spinoza (sur la question du libre-arbitre) mais qui n’aurait pas oublié ses origines ; toujours directement connecté au monde informatique (hard & soft) pour nous en décrypter le langage ; pour se faire, dans l’irréversible numérisation du réel, l’interprète de deux mondes.

Le Carnet du Geek en est la parfaite l’illustration : Julien Pons entend régulièrement vous proposer un podcast vidéo et screencasting, d’une heure, dédiés à la high tech et la photo ; autant logiciel que matériel. Une série d’émissions qui se veut, d’abord, un retour d’expérience « subjectif », précise t-il (encore une preuve d’un niveau conscience totale), sur les différents sujets abordés.

L’EP1 était consacré au hackintosh (méthode alternative de hacking qui a pour objectif d’exécuter Mac OS sur un PC). Les EP2 (et c’est aussi pour cette raison qu’ils nous intéressent particulièrement), quant à eux, présentent et examinent, de très près, les logiciels de screencasting, avec pour objectif d’aider les contributeurs débutants et expérimentés à, « enregistrer des tuto de guedin et gagner des milliards de brouzoufs », selon les termes de cet homme-machine qui nous dévoile, au passage, toute la richesse de son vocabulaire et ses références culturelles !
L’occasion également de trouver les réponses à vos principales questions, si vous avez l’intention de vous lancer dans la production de tutoriels vidéos, et de rejoindre la famille…

Au programme, donc : un comparatif (fonctionnalités, prix, utilisation) des principaux logiciels de screencasting (parmi lesquels Camtasia, BB Flashback Pro, Open Broadcaster, Screenflow et Snagit) ou encore comment optimiser l’enregistrement et le rendu de vos vidéos.

Bref, on ne saurait trop vous conseiller de mater tout ça, tout de suite !

 

Le Carnet du Geek EP2 : Les logiciels de screencasting

Le Carnet du Geek EP2 – TUTO : Optimiser les logiciels de screencasting

 

Retrouvez tous les tuto de Julien Pons <— ici.

 

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AdobeCadabra

Adobecadabra

AdobeCadabra, c’est un projet tout simple : des astuces de 15 secondes en vidéo, publiées sur Instagram. Adobe innove dans sa communication pour faire parler de son Creative Cloud de manière ludique et on aime ça. Original, il fallait y penser :)

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mObject : la 3D pour Final Cut Pro et Motion

mobjectmObject c’est le nom d’un plugin 3D pour Motion et Final Cut Pro X (FCPX) les 2 produits vidéo phare de chez Apple. mObject est un plugin signé MotionVFX.com qui vous permet donc de travailler des objets ou titres 3D directement dans FCPX et Motion. Vous pourrez grâce à lui importer vos modèles 3D en .obj, créer de vraies extrusions 3D, texturer avec de l’UV et mapping, gérer les lumières…La force de mObject est de travailler au sein même de Motion et Final Cut pro, grâce à un rendu temps réel. Voici une petite vidéo pour comprendre le potentiel et l’intérêt de mObject :

Cela vous dit quelque chose ? Oui ? Bien, à nous aussi. On peut dire que le plugin  Element 3D de chez VideoCopilot pour After Effects en a inspiré d’autres :)

Pour utiliser ce plugin il vous faudra posséder Motion 5.1 et FCPX 10.1 et un mac avec OS X 10.9 avec 1, 1GB de VRAM. Côté tarif, comptez 149$ pour le plugin nu, auxquels vous pourrez rajouter 99$ pour le pack de shaders avancés, mais également 99€ pour des packs de modèles 3D tous prêts (han, comme chez VideoCopilot !). Le méga Bundle qui comprend la totale est à 399$.

mObject tarifs

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L’audio débarque dans Edge Animate CC

Adobe Edge Animate CC

Encore une mise à jour du Creative Cloud d’Adobe. Cette fois c’est Edge Animate qui est visé. Edge Animate CC, qui, pour rappel, vous permet de créer des animations pour le web en utilisant le HTML, le CSS et Javascript, le tout, très simplement. Voici les nouveautés qui sont au programme de cette mise à jour qui concerne la version CC :

  • Des améliorations côté animations :

    Déjà très bien positionné comme l’outil de référence pour la création d’animations nouvelle génération pour le web, cette version de Edge Animate va plus loin avec l’ajout du support audio – tous les fichiers audio web sont supportés, ce qui inclus le MP3, le OGG et le WAV (…). En animation, la dimension audio est primordiale dans son aspect immersif ; cet élément manquait donc cruellement à Edge Animate. Dans un soucis de gains en productivité, cette version introduit également les Templates, des modèles donc, qui vous permettront de ré-utiliser des éléments déjà créés précédemment, vous faisant économiser ainsi, un temps précieux. Enfin, Adobe a rajouté la possibilité de modifier un chemin d’animation (Motion Path) ; avant,  vous deviez le supprimer puis tout recommencer.

  • Améliorations du côté scripts :

    2 nouveautés de taille : la possibilité de charger facilement des librairies tierces au sein de vos projets Edge Animate et la possibilité de rendre vos animations encore plus interactives avec le Swipe Gestures. Le Script Loading donc, vous permet d’inclure des scripts externes depuis votre disque local ou bien une URL (par exemple, vous pourrez ajouter simplement une libraire issue de chez GreenSock). Quant aux Swipe Gestures, il s’agit tout simplement du support tactile dans vos animations, comme la possibilité de naviguer dans un carrousel avec la souris sur un ordinateur, et vos doigts sur un support tactile.

  • Une meilleure implémentation :

    Edge Animate CC propose maintenant l’adaptation totale de votre animation en responsive. De plus, vous avez désormais la possibilité d’héberger des fichiers runtime sur les CDN d’Adobe (pour améliorer le temps de chargement de vos animations) et de créer des pakages OAM qui pourront être utilisés dans Indesign ou tout autre produit de la Digital Publishing Suite (DPS).

Voici ces nouveautés, en action et en vidéo :

Je vous encourage à suivre un tuto Edge Animate pour connaitre ce produit qui va devenir très rapidement un indispensable dans l’animation web, hors format Flash. Un produit qui évolue rapidement (grâce à la stratégie de mise à jour des produits en Creative Cloud) que vous vous devez de maîtriser.

Tuto Edge Animate

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Final Cut Pro 10.1

final cut pro 10.1

Final Cut Pro 10.1, le logiciel de montage vidéo de référence sur Apple vient d’être mis à jour (en même temps que la sortie du nouveau Mac Pro). Pas mal de nouveautés et d’améliorations sont au programme :

  • la lecture et les rendus sous les nouveaux Mac Pro justement, sont optimisés (via la prise en charge des 2 processeurs graphiques de la machine).
  • le contrôle du nouveau format 4K vua Thunderbolt et HDMI sur certains ordinateurs Mac. Rappelons que le 4K est un format que l’on va de plus en plus retrouver en production. On note également l’amélioration des performances pour les projets de grande taille et lors de l’ajout de mots-clés à de nombreux plans à la fois.
  • Contenu 4K : titres, transitions et générateurs
  • Des bibliothèques vous permettant de regrouper plusieurs projets ou événements au sein d’un même groupe. Notons que l’ouverture des bibliothèque a été optimisée car seulement les éléments utilisés sont chargé.
  • Toujours côté bibliothèques on remarque l’option d’importation de données à l’intérieur ou à l’extérieur d’une bibliothèque ainsi que la sauvegarde auto de ces dernières.
  • Vous pouvez jongler plus facilement avec des versions de projets grâce aux instantanés
  • L’arrivée des pognées audio sur tous les canaux de la timeline
  • La resynchronisation est plus précise : vous pouvez désormais taper directement une valeur dans la timeline. Apple a ajouté des options de resynchro sans ondulations et le remplacement couplé à la resynchro en une étape
  • Vous pouvez désormais choisir les dimensions de vos images de projets personnalisés
  • Coupes affichées sur tous les types de plans
  • Il est désormais possible de dissocier l’audio dans les plans multicam pour le manipuler séparément de la vidéo. A noter que l’on peut désormais effectuers des montages audio et vidéo seulement dans la timeline avec des plans multicam comme sources.
  • Coupez et déplacez l’audio dans des coupes en J et en L ouvertes
  • Gagnez de l’espace de travail en masquant désormais le navigateur (en option)
  • Les fichiers de types MTS, MTS2 des caméras AVCHD sont désormais pris en charge dans Final Cut Pro 10.1
  • Indicateurs de données utilisées sur les plans sources
  • On peut désormais déplacer, copier et coller facilement plusieurs images clés
  • Option d’animation linéaire et effet Ken Burns
  • La stabilisation d’image a été améliorée avec les modes InertiaCam et Tripod
  • Vous pouvez désormais importer des photos depuis des appareils iOS
  • Commandes de qualité de lecture et proxy accessibles dans le menu Visualiseur
  • Prise en charges des métadonnées portait et paysages dans les images fixes
  • Paramètres des effets, polices et tailles de textes inclus dans les métadonnées XML
  • Meilleure prise en charge de l’évolution des données et du montage pendant l’acquisition
  • FXplug 3 avec interfaces de module personnalisées et pris en charge d’une double processeur graphique (Mac Pro)
  • API pour opérations de partage personnalisées à l’aide de logiciels de tierce partie
  • Partage direct sur Youtube avec support du 4K mais également sur les sites chinois Youky et Tudou
  • Enfin, localisation du logiciel en espagnol

Final Cut Pro 10.1 est disponible sur le Mac App Store au prix de 269,99€. Configuration requise : OS X 10.9 ou ultérieur, 4 Go de RAM (8 Go recommandés pour 4K), carte graphique compatible OpenCL ou carte Intel HD Graphics 3000 ou ultérieure, 256 Mo de VRAM (1 Go recommandé pour 4K), 3,5 Go d’espace disque.

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