Peter Jaworowski est le 11ème artiste de la collection TEN Fotolia Saison 2. Il est le fondateur de l’agence Ars Thanea qui collectionne les références : Nike, Nokia, Ubisoft… Une occasion unique de découvrir cet artiste au travers d’un PSD gratuit pendant 24h seulement, mais également avec ces 2 vidéos :
Alberto Seveso, vous le connaissez certainement, puisqu’on lui doit le visuel des packagings d’Adobe Photoshop CS6 Extended. Il vous propose, dans le cadre de l’opération TEN Saison 2, un PSD gratuit pour 24h seulement. L’occasion unique de découvrir comment l’artiste travaille.
Google Web Designer est un nouvel outil gratuit, de création de sites et d’animations en HTML5. Cet outil est avant tout pensé pour créer des bannières de pub animées, en HTML5 mais peut être utilisé également pour créer des animation ou même un site en HTML5. Tout ce qui est créé dans Google Web Designer est responsive (il s’adapte au support sur lequel le contenu est consulté). C’est un outil visuel, pas besoin donc d’être un développeur aguerri pour prendre en main l’outil, ce qui n’empêche pas que le code généré pourra être retouché à la « mimine » par la suite, si vous en avez l’envie et l’expérience.
Fonctionnalités de Google Webdesigner
2 modes d’animation sont proposés : un basique (le Quick mode) et un plus avancé (Advanced Mode)
La 3D grâce aux capacités de CSS3
2 modes de visualisation de votre travail, comme dans un Dreamweaver avec un code view et un design view
Des outils de dessins vectoriel.
Une publication de votre travail facilité par des modes d’export direct sur DoubleClick ou Admob (en ce qui concerne des projets de bannières pub)
Google Web Designer est donc ouvert publiquement en beta. L’outil se positionne d’ores et déjà comme un concurrent à la famille Edge de chez Adobe (outil qui a quand même un peu plus d’avance à ce jour).
A tester pour vous faire une idée (ou bien regarder les vidéos de Google Web Designer sur Youtube), l’application est compatible MAC (à partir de 10.7) et PC
Premiere Elements 12 vient également de sortir (en même temps que Photoshop Elements 12). Alors que retrouve t-on au niveau des modules de classement, montage, amélioration et partage ? Réponse : pas grand chose !
Les nouveautés de Premiere Elements 12
De même que pour Photoshop Elements 12, et grâce à la technologie de Ravel, vous pouvez désormais partager entre votre smartphone, tablette et ordinateur, tous vos films !
Les didacticiels embarqués vous permettent d’apprendre en pratiquant (ça risque de faire plaisir aux éditeurs de formations en vidéo ^^)
Côté optimisation, on retrouve de nouveaux effets, de nouvelles partitions musicales, un nouvel environnement de travail plus intuitif et une meilleure gestion du partage de vos vidéos.
Bon. Cette version me laisse un peu perplexe. On ressent de plus en plus que le produit est arrivé à une certaine maturité, du coup, dur dur de trouver des choses à rajouter. On aurait préféré un cycle de vie, un peu plus long pour donner une réelle légitimité au produit, surtout lorsqu’on voit le prix de la mise à jour : 81,18€ (à partir de Premiere Elements 11) et 98,40€ pour la version complète.
On devrait tout de même voir arriver quelques tuto ou formations consacrés à Premiere Elments 12, dans les prochaines semaines.
Photoshop Elements 12 vient tout juste de sortir. Autant vous le dire tout de suite, ce n’est pas une version qui apporte une « révolution », comme vous allez pouvoir vous en rendre compte. On parlera plus de bonifications.
Les nouveautés de Photoshop Elements 12
Albums Mobiles : des photos toujours disponibles. Grâce aux albums mobiles, vous accédez depuis n’importe quel support (smartphone, tablette, ordinateur) à vos albums photos. Il semblerait que la techno s’apparente à celle de Ravel.
Déplacement basé sur le contenu : le « remplissage basé sur le contenu » de Photoshop est donc adapté au petit frère Photoshop Elments 12. A nos yeux c’est LA nouveauté pratique de cette version.
Des nouveaux effets, cadres et textures pour donner du caractère à vos images en quelques clics
Après le filtre anti yeux rouge, voici la correction automatique pour les yeux animaux (il fallait y penser ^^)
Le reste n’est qu’optimisation (interface, partage, didacticiel sembarqués, corrections automatiques améliorées…).
Côté tarif, comptez 98,40€ pour la version complète de Photoshop Elements 12, et 81,18€ pour une mise à jour à partir de Photoshop Elements 11(!). A noter la nouvelle compatibilité du produit avec les systèmes 64 bits (ce qui, au passage, sucre quelques fonctionnalités comme l’extraction magique, nouveauté de la version précédente).
On devrait voir arriver d’ici quelques jours les premiers tuto et formations consacrés à cette version de Photoshop Elements et également pour Premiere Elements 12.
L’artiste new yorkais Danny Evans s’est amusé avec Photoshop pour découvrir à quoi pourrait ressembler nos stars si elle n’étaient pas passées par la case « Hollywood ». Aux antipodes de la retouche beauté qu’on leurs réserve traditionnellement, ce sont des portraits de stars dédéifiés, normalisés, plongés dans un quotidien banal qui nous sont livrés, brut de décoffrage. Et là, notre sacro-sainte Scarlett Johansson, déclenche tout de suite moins d’appétence.
MARI, édité par The Foundry (à qui l’on doit notamment Nuke et Modo), est un logiciel spécialisé dans le texturing 3D.
Peu connu du grand public, nous avons décidé de vous faire connaître MARI, car nous sommes persuadés qu’il fait parti de ces logiciels qui risquent de changer la donne dans les mois qui viennent (au même titre qu’un ZBrush ou qu’un Marvelous Designer). L’ascension de Mari a déjà commencé. La preuve : sur 10 films en shortlist dans la catégorie Visual Effects aux Oscars 2013, 9 l’ont utilisé (on peut par exemple citer The Hobbit, Prometheus ou encore The Avengers).
Pour la petite anecdote, bien avant de tomber entre les mains de The Foundry, MARI a été développé, en interne, par le studio Weta Digital pour les besoins du film Avatar.
Mais alors qu’est-ce qui rend Mari si incontournable ? Tout simplement la possibilité de peindre directement sur votre modèle en 3D. Oubliez les galères de dépliage et le travail sur de l’aplat, avec MARI vous travaillez en live sur vos modèles en 3 dimensions !
Alors vous allez me dire que tout ceci n’est si nouveau et que Cinema 4D permet par exemple de le faire depuis quelques versions déjà avec son BodyPaint, de même que ZBrush et son PolyPaint, ou encore, le trop peu connu, blacksmith3d. Oui mais voilà, Mari est, comme je l’ai précisé en introduction, un logiciel totalement dédié à la peinture numérique et aux texturing. Du coup, une large palette d’outils est à votre disposition et notamment un système assez évolué de calques, couches et masques, qui n’a rien à envier à Photoshop. Mari vous permettra de travailler sans sourciller sur des modèles complexes (affichant plusieurs millions de polygones) et c’est d’ailleurs sur ce point il met K.O. Photoshop.
Le logo de Mari, représente une éclaboussure de peinture.
Mari est disponible sur PC, Liux est bientôt sur Mac, au prix de 1 440,00 € HT. A noter qu’une version de démonstration gratuite Mari et fonctionnelle 15 jours est également disponible.
Les premières fomations et tuto Mari devraient voir le jour prochainement sur tuto.com. En attendant, voici quelques vidéos qui vous feront découvrir le logiciel, histoire de bien vous mettre l’eau à la bouche :)
Adobe vient d’annoncer que la barre du million d’utilisateurs (premium) Creative Cloud a été franchie !
Malgré les critiques exprimées sur le net autour du modèle de l’abonnement, il semblerait qu’Adobe soit sur la bonne voie (tout en ayant « reculé » sur certaines positions). Cette adoption massive, est certainement due aux nombreuses mises à jour proposées depuis le lancement du Creative Cloud (que nous ne manquons pas d’aborder systématiquement ici même). Un rythme soutenu qui permet aux membres du cloud de bénéficier de nouvelles fonctionnalités, sans attendre le fin du du cycle de vie des produits.
Le fait de pouvoir retrouver tous ses réglages et préférences sur l’ensemble de ses postes de travail, illustre également un Cloud qui se veut dans son époque et en phases avec les usages actuels, multi-supports.
La règle et le stylet…
Adobe en profite pour confirmer son intention d’aller de l’avant dans l’innovation et annoncer une sortie des 2 produits dévoilés lors du dernier Max : Mighty et Napoleon, (respectivement, un stylet et une règle) tous 2 prévus pour le premier semestre 2014 !
One more thing…
En introduisant du hardware aux côtés du software, on pouvait imaginer qu’on verrait naître des passerelles entre les 2 mondes. Ça sera bien le cas ! Mighty sera en effet connecté au cloud. Deux app nouvelles verront également le jour : Parrallel (une application iPad de dessin totalement pensée pour Napoleon) et Contour (prenez une photo d’un objet ou d’une forme depuis votre iPhone et travaillez-la avec Napoleon sur un iPad pour esquisser des lignes architecturales).
Le hardware et le software, main dans la main pour vous aider à poser vos idées où que vous soyez (avant de les développer plus sérieusement sur les solides applications du Creative Cloud. Personnellement, j’aime plutôt la direction adoptée par les équipes d’Adobe.