Oyé Oyé. Membres du Creative Cloud, voici une mise à jour pour Dreamweaver CC
Nouvelle fenêtre de « Live View » : la fenêtre de pré-visualisation, adopte un nouveau moteur de rendu, qui affiche les mêmes performances que Google Chrome. Plus besoin donc de basculer entre Dreamweaver et un navigateur pour tester votre code ou design.
Le Live « Highlight » surligne en temps réel le lien entre un élément HTLM depuis la « Live View » et vos sélecteurs CSS (un peu comme le fait l’extension Firebug).
La synchronisation des préférences (« Sync Settings ») fait son apparition (tout comme pour Indesign la semaine dernière)
Quelques améliorations autour du « CSS Designer » (à l’image d’un nouveau sélecteur de couleurs, plus efficace)
Des améliorations visuelles de mise en évidence de votre code dans la fenêtre « Code View ».
Enfin, la mise à jour de PHP 5.4 et jQuery Mobile 1.8.3.
Une mise à jour pour Indesign CC (l’édition réservée aux abonnés de Creative Cloud) est disponible. Il vous sera désormais possible de synchroniser dans le Cloud d’Adobe tous vos paramètres :
raccourcis clavier
pré-réglages
espace de travail
Cette nouveauté appelée « Sync Settings » ravira donc tous les travailleurs nomades (comme moi) qui pourront retrouver les mêmes conditions de travail, peu importe la machine utilisée.
Le Intuos Creative Stylus est un nouveau stylet pour iPad proposé par Wacom. Clairement positionné haut de gamme (99,90€), le Intuos Creative Stylus propose 2048 niveaux de sensibilité à la pression, tout en ignorant le contact de votre paume de main (ce qui, avouons-le, arrive relativement souvent lorsque vous dessinez sur tablette).
Comme tout véritable stylet Wacom qui se respecte , vous pouvez configurer des boutons de raccourci. Le Intuos Creative Stylus supporte une inclinaisons de +/- 45 degrés. Wacom annonce plusieurs jours d’autonomie en utilisation constante (150 heures pour être précis).
Voici donc un outil professionnel, léger (25 grammes) pour dessiner librement sur de nombreuses applications déjà compatibles : SketchBook, ProCreate, Artrage, Bamboo Paper, ArtStudio, Inkist, Flipnk et prochainement Adobe Ideas, Psykopaint et Vision Object Notes. Le tout que vous soyez droitier ou gaucher.
Ce stylet fonctionne avec un iPad Mini, iPad 3 et iPad 4, en Bluetooth. Il est proposé en deux coloris : noir et bleu. Ce stylet vous sera livré avec un étui permettant de transporter dans son sac ou une poche le stylet, des pointes de rechange et une batterie supplémentaire.
Pré-commandez votre Intuos Creative Stylus sur Tuto.com
En tant que revendeur officiel Wacom, nous vous proposons de pré-commander dès aujourd’hui ce stylet Wacom pour iPad. Pour l’occasion nous vous offrons 10 crédits tuto.com (valeur 12,90€) pour tout achat d’un stylet Intuos Creative Stylus avant le 15 septembre.
Nous avons pris la décision de tester en avant-première le système de panier et de paiement que nous avons prévu pour la v3 du site, persuadés que ces derniers seront bien plus efficaces qu’actuellement.
Voici ce qui change :
Le design
Le système de panier et l’achat de crédits se font désormais sur fond clair. Il en ressort un sentiment de clarté (assez évident) donc certainement plus rassurant. Ce panier est également plus simple d’utilisation. Moins de friction = plus de transformations sur le site (enfin on espère ^^).
Le paiement CB intégré au site
Désormais, pour un paiement par carte CB, vous ne sortirez plus de tuto.com. Avant, vous atterrissiez sur une page bancaire assez laide (nous utilisions Merc@net, la solution de BNP Paribas, mais c’est un peu le même constat chez les autres banques). En plus d’être laides et externes à votre site, les solutions bancaires vous obligent à utiliser le 3D Secure. Un système censé vous protéger, mais qui a un impact très négatif sur les taux de transformation du e-commerce. Le 3d Secure, pour ceux qui ne savent pas trop de quoi il s’agit, c’est ce système qui vous demande par exemple de saisir le code reçu par SMS (vous avez intérêt à avoir votre portable sous la main), d’indiquer votre date de naissance ou encore à saisir un code issu d’une grille ou d’un boitier fournis par votre banque. Bref une étape additionnelle, assez agaçante pour l’utilisateur et un cauchemar pour le e-commerçant. Le 3d Secure part pourtant d’une bonne idée, mais n’est pas optimisé.
Nous avons donc cherché un solution et opté pour Be2Bill (j’y reviendrai dans un instant) qui permet de mettre en place des scénarios de déclenchement du 3D Secure.
Mise en place du https
Puisque nous intégrons au sein même de notre site, la gestion du système CB, nous avons du nous munir d’un certificat SSL et pas n’importe lequel. Nous avons opté pour un certificat de type EV (reconnaissable à la barre verte qui apparait sur vos navigateurs). Nous avons acquis ce certificat chez Comodo. Cet organisme s’est chargé de vérifier notre identité (par le biais d’un avocat), notre existence bancaire, le santé de l’entreprise, notre adresse physique, garantissant ainsi aux clients l’exactitude des informations relatives à Weecast. A noter que ce certificat SSL sera déployé sur l’ensemble du site lors du passage à la V3.
Option achat « one click »
Il s’agit d’une option. Vous avez désormais la possibilité de mémoriser votre carte CB au moment d’un achat. Je vous rassure tout de suite, Tuto.com NE CONSERVE PAS LES DONNÉES BANCAIRES EN INTERNE. C’est la société Be2bill (groupe Rentabiliweb) qui se charge de cela.
Un mot sur cette société. Il s’agit d’un établissement de paiement agréé par l’Autorité de Contrôle Prudentiel (code banque : 16378 / numéro d’agrément N° 16378C) et membre du GIE Carte Bancaire. En plus de l’agrégation Banque de France de ce partenaire, cet établissement bancaire respecte scrupuleusement la norme PCI-DSS qui concerne les échanges de données de paiements.
Paypal Express Checkout
On en a profité pour mettre en place Paypal Express Checkout, qui est un panier Paypal encore plus rapide d’utilisation.
Ce qui ne change pas :
Tout le reste ! Vous avez toujours la possibilité de ne payer que la somme de crédits souhaitée (en passant par le panier) ou bien des packs de crédits seuls (en passant sur la page dédiée).
Afin de tester ce nouveau joujou, nous avons mis en place une petite promo sur un pack (celui de 100).
Si vous avez des retours, idées ou suggestions, vous pouvez le faire en commentaire de cet article ou bien directement sur la boîte à idées.
L’opération Ten de Fotolia vous réserve une petite surprise aujourd’hui. Ce n’est pas un PSD mais un projet AEP (After Effects) que vous pouvez télécharger gratuitement, pendant 24h. Ce projet très motion design est signé de l’artiste Lydia Baillergeau.
Le projet Toast to Inspiration à télécharger
L’interview vidéo de Lydia Baillergeau
Découvrez Lydia en vidéo
Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Je m’appelle Lydia Baillergeau. Je suis motion designer freelance. J’habite à Oakland en Californie et je travaille à San Francisco.
Parlez-nous de votre formation : avez-vous suivi un parcours universitaire ou êtes-vous autodidacte ?
J’ai toujours dessiné, griffonné, imaginé et crée aussi loin que je m‘en souvienne. Depuis mon plus jeune âge, j’ai toujours eu pour ambition de travailler dans le secteur du design. J’ai donc décidé de faire mes études en Graphic Design et j‘ai obtenu mon BFA. Après l’université, j’ai travaillé comme designer dans une petite entreprise. Suite à un parcours tumultueux, j’ai décidé de retourner sur les bancs de l’école pour étudier le motion design. J’ai en effet toujours cherché à représenter mes idées en mouvement. Lorsque j’illustrais des articles de journaux, j’imaginais les éléments s’animer, aller et venir sur la page… Le motion design vous permet de créer et d’envisager 24 ou 29 séquences au lieu d’une seule et c’est ce que j’adore !
Travaillez-vous au sein d’une agence ou en tant que Freelance ? Et pourquoi ?
Je travaille actuellement pour l’agence LaunchSquad en tant que responsable design. Le soir, j’essaie de dégager du temps pour des projets personnels. En agence, j’aime le travail en équipe autour de la création d’un concept. Les personnes qui m’entourent ont chacune leur expertise en motion design ce qui me permet d’apprendre énormément sur le sujet. On se stimule les uns les autres.
J’aime aussi travailler en freelance mais je suis très sélective sur les projets qu’on me soumet !
Quel a été votre parcours dans l’illustration digitale ?
J’ai commencé par la Suite Adobe Creative hardcore, lors de ma deuxième année de BFA. Avant je créais tout à la main avec un crayon à papier, un stylo, de la peinture…au début le passage au numérique a été dur mais au final les possibilités sont infinies et ça m’a permis de m’ouvrir davantage au monde.
Quelles sont vos influences ?
Tout ! La musique, la nature, les amis, les expériences (positives et négatives). Lorsque je ne me sens pas créative, je décide de m’aérer l’esprit: sortir, voir un beau paysage, tester un nouveau restaurant, aller voir un ami…
De nombreux artistes m’inspirent également; pour n’en citer que quelques-uns: Kyle Cooper, Karin Fong, Karin Rosenthal, Monet, Gregory Crewdson, Walter Murch.
Vos influences et vos sources d’inspiration ont-elle un impact direct sur votre style et votre travail?
Je crois que tout ce que nous créons est en rapport avec nos expériences et nos influences. Mais j’ai été influencée par des artistes issus d’autres domaines. Par exemple, j’aime bien la façon dont Kyle Cooper a réussi à créer autant de séquences de titres en utilisant des méthodes de compositions pratiques et organiques.
Comment définissez-vous votre style ?
Mon style est très ancré dans la notion de concept. Je pense qu’il est essentiel de tout articuler autour de l’idée et de l’histoire. Si vous faites quelque chose en rose, vous devez très précisément savoir pourquoi vous avez choisi cette couleur. J’aime dire que mon style évolue. Je veux constamment apprendre, grandir et tester de nouvelles choses.
Quelle est le mot qui vous définit le plus ?
Éclectique
Pouvez-vous nous décrire votre méthode de travail pas à pas ?
Tout repose sur le concept.
Je définis le concept et réalise un canevas de l’histoire pour le choix des visuels.
Parfois, ceci implique un brainstorming stratégique ou un travail spécifique avec le concepteur rédacteur et le cinéaste. Nous pouvons passer un long moment avec le client afin d’établir le message et le ton.
Je crée des styles de cadres stratégiques, en me basant sur une structure déjà établie. Ici, j’ai commencé à regarder des images, à créer des graphiques, à effectuer des mises en page afin d’avoir une idée générale du style et du ton à adopter. Parfois je fais plusieurs déclinaisons afin de choisir la meilleure direction à suivre pour le client.
Je conçois le storyboard minutieusement en définissant toutes les transitions. Souvent, je dessine très rapidement, tellement vite qua ça devient incompréhensible ! Personne ne sait ce que je dessine mais ces petits croquis sont des simples notes personnelles pour la réalisation des images finales.
Je commence l’animation en plusieurs étapes. 1ère étape: Disposer tous les éléments, les animer en utilisant After Effects. 2ème étape: Peaufiner l’animation et ajouter des animations secondaires.
Quels sont les clients pour lesquels vous préférez travailler ? Pourquoi ?
Les clients ouverts aux nouveautés et qui font confiance à ma capacité à répondre aux messages et objectifs définis.
Quels sont vos projets pour les prochains mois ?
Avant tout, l’animation motion design pour le projet TEN by Fotolia, ensuite la création d’une animation typographique pour une série de courts-métrages destinée au secteur alimentaire, puis toute une série d’animations pour les clients de LaunchSquad, et je l’espère, une création pour les confiseries Jello.
Est-ce important pour vous de continuer à travailler sur des projets personnels en dehors de vos obligations professionnelles ? Pourquoi ?
Absolument mais c’est parfois difficile de trouver le temps nécessaire lorsqu’on est totalement accaparée par des projets professionnels. Je trouve qu‘il est toutefois important de s’investir dans des projets personnels pour mieux suivre les tendances et tester de nouveaux outils.
Vous venez d’un pays où la culture et l’histoire sont riches et profondes, cela vous influence-t-il ?
Les États-Unis sont un modèle multiculturel et notamment San Francisco. On y découvre différentes cuisines, diverses cultures se côtoient comme différents types d‘art. Tous ces éléments influencent incontestablement ma façon de penser.
Pensez-vous que, si vous aviez grandi dans un environnement différent / culture / pays, votre style et votre travail le seraient aussi ?
Oui, sans aucun doute. Si j’étais née ailleurs qu’en Californie, mon travail et mon style seraient probablement différents. L’expérience est primordiale pour façonner une personne et son style.
Pourquoi avez-vous rejoint le projet TEN?
Parce que c’est une formidable opportunité de pouvoir partager ma passion auprès de la communauté créative du monde entier.
Quel est votre avis sur la créativité ?
Tout le monde est créatif. Vous pouvez trouver un moyen créatif pour résoudre une équation de maths, faire un gâteau, résoudre un conflit ou dessiner une personne. Notre inspiration vient de ce qui nous entoure et de nos expériences. Cela nous aide à élargir nos idées et trouver de nouvelles sources d’inspiration.
Quelles sont pour vous les qualités clés pour un graphiste ?
La patience, la persévérance comme la volonté de communiquer une émotion ne suffisent pas. Pour un motion design magnifique, il faut une histoire magique.
Quel serait votre conseil aux jeunes artistes qui voudraient suivre votre exemple ?
Brainstormer, faire des croquis, articuler son travail étape par étape. Faire autre chose puis revenir sur son travail un peu plus tard. Vous aurez ainsi un nouveau regard sur ce que vous avez crée. Il vous arrivera parfois d’effacer votre création pour prendre une nouvelle direction artistique, et certaines fois, vous serez convaincu d’avoir pris la bonne voie.
Parlez-nous de vos outils préférés: (périphériques, logiciels …)
Je suis une grande fan d’Illustrator. Illustrator est un merveilleux outil car je peux faire plusieurs « art boards » et storyboard, du début à la fin, tout en animant des vecteurs. Ce logiciel m’aide vraiment à réaliser et à visualiser mon animation dans son ensemble. Je peux voir comment les couleurs et les design seront utilisés tout au long de l’animation, et m’assurer que les éléments sont visuellement cohérents, dynamiques et originales.
Quel sentiment ou idée, avez-vous l’intention de transmettre à travers votre création?
Je voulais créer une petite animation en hommage au processus créatif. C’est quelque chose que j’expérimente chaque jour. La création et l’inspiration sont deux éléments magiques. C’est pourquoi, j’ai voulu les représenter à travers l’utilisation d’étoiles scintillantes, de lumières éclatantes et d’images éthérées.
Qu’est-ce qui a motivé ce choix?
Il y a peu de temps de cela, l’équipe créative avec laquelle je travaille est arrivée avec le concept d’un toast au processus créatif. Nous avons passé des heures à brainstormer pour savoir comment trouver la bonne idée puis notre rédactrice Leah Shesky, a pris sa plume pour rendre un bel hommage à la créativité. Je me suis donc dit que ce serait amusant de créer une petite animation sur cet axe.
Le brief de Fotolia a fait appel à la liberté de création. Aimez-vous travailler en suivant des directives artistiques définies, ou préférerez-vous avoir carte blanche?
Avoir carte blanche est la chose la plus merveilleuse que l’ont peut avoir. De cette façon, vous pouvez définir votre propre direction artistique. Vous pouvez vraiment choisir de suivre ce qui vous parle, ce qui vous inspire et ce qui vous motive. J’ai réellement appréciée avoir mes propres lignes directives pour cette animation.
Votre travail révèle plusieurs niveaux de profondeur : pouvez-vous expliquer les différentes «couches» qui le composent?
En animation, je pense qu’il est important d’avoir toujours plusieurs niveaux. Les animations secondaires, plus subtiles, ajoutent des niveaux de profondeur et de détails qui entretiennent l’intérêt de la personne qui les regarde. Techniquement, ça implique beaucoup de pré-composition, d’effets empilement et de calques de réglage.
Avez-vous plus d’information ou “astuces” à révéler sur votre travail et les techniques que vous avez utilisées pour le créer ?
Le pinceau d’Illustrator est un outil très puissant pour les compositions organiques. Vous pouvez prendre une illustration vectorielle, comme ce poisson de Fotolia, l’ajuster, puis en faire un pinceau. Ensuite, vous pourrez en tirer une animation séquentielle, qui aura beaucoup de caractère. Vous pouvez également importer l’ensemble de ces couches dans l’After Effects et choisir leur ordre afin de créer un effet d’enchainement naturel pour votre animation. De plus, avoir des lignes de plus en plus épaisses, des couleurs de plus en plus sombres, aide vraiment à garder une conception visuelle attrayante et ajoute de la profondeur à votre animation. Pour cela, j’aime utiliser le dégradé sur la fonction « contour ». Les calques de forme dans l’After Effects sont étonnants pour l’animation. Je les utilise beaucoup pour les animations en second plan. J’importe simplement mes fichiers Illustrator – comme l’ampoule électrique, je crée des formes à partir du calque de vecteurs et j’automatise l’animation avec les propriétés du calque de forme.
Vous incorporez divers médias dans votre travail (3D, dessins, images, vecteurs …) : pouvez-vous nous en dire plus à ce sujet?
Ce fichier utilise des animations séquentielles en Flash, beaucoup de vecteurs graphiques, et un court-métrage 3D. L‘utilisation des éléments fait main avec des éléments numériques donne un beau contraste. J’ai édité des images vectorielles que j’ai téléchargées sur Fotolia pour les aider à mieux s’intégrer dans mon design. C’est une bonne façon de travailler parce que vous pouvez gagner du temps et éviter d’avoir à dessiner tout cela. J’ai modifié les vecteurs en changeant leurs couleurs. Pour ajouter une texture naturelle au canevas des scènes, j’ai utilisé des tons mats alpha et luma dans les Afters effects. J’aime explorer ce style dans mes transitions.
Utilisez-vous vos techniques habituelles ou en expérimentez-vous de nouvelles?
J’ai essayé de réaliser une animation séquentielle avec Flash pour créer des projections sur le verre de champagne. Pour cela, j’ai simplement importé mon fichier After Effects dans Flash et dessiné les éclaboussures image par image.
Éditeur historique de contenus de elearning, nous voulions vous proposer d’en savoir une peu plus sur cette société. Entretien avec Antoine Gilles, le responsable ecommerce de la marque.
Q – Bonjour Antoine. Pouvez-vous nous présenter rapidement Editions ENI ?
Editions ENI est créateur et éditeur d’outils de formation à l’informatique technique, web, graphisme, bureautique et entreprise. Nous sommes le 1er éditeur de livres d’informatique en français et le seul à couvrir l’ensemble des thématiques concernées par ce domaine.
Nous sommes un des plus importants groupes de formation à l’informatique en France. Notre vocation est de proposer l’ensemble des possibilités d’apprentissage à tous ceux qui souhaitent apprendre l’informatique : livres imprimés, livres numériques, supports de cours, bibliothèque numérique, e-learning bureautique, présentiel, et donc désormais vidéos.
Nous avons lancé notre activité vidéo en fin d’année 2012, à ce jour nous avons publié une douzaine de vidéos de formation (SQL Server, VBA Excel, VMware, Photoshop, C#, etc.) le rythme doit s’accélérer dès la rentrée de septembre.
Q – Parlons tutoriel vidéo. Qu’est-ce qui vous a décidé à franchir le pas ? Quel regard portez-vous sur ce format par rapport au livre informatique traditionnel ?
Le tutoriel vidéo est un outil complémentaire au livre : il propose une approche différente, notamment plus « visuelle ». Il est un outil aujourd’hui incontournable dans le monde de la formation, voire même de l’information. Les sites tels que Youtube, Dailymotion ou Vimeo ont aussi habitué les internautes, donc les stagiaires potentiels à utiliser ce type de support. La formation à l’informatique ne pouvait donc qu’évoluer vers cela.
La plupart de nos auteurs de vidéos, sont également les auteurs des livres correspondant. Nous avons fait ce choix pour assurer à nos vidéos un niveau de qualité pédagogique et technique équivalent au reste de nos outils et notamment les livres.
Q – Pensez-vous d’ailleurs que la vidéo soit le format le plus adapté pour des produits techniques, comparé au livre ?
Ces deux formats sont complémentaires et correspondent à des profils d’apprenants qui peuvent être différents.
A partir du moment où le produit technique concerné dispose d’une interface, le format vidéo peut être utilisé, il y a des « choses » à montrer. Je dirais même que sur certains sujets le format vidéo apporte un vrai plus à l’apprentissage en illustrant de façon très concrète des explications plus générales. D’ailleurs, à chaque fois que c’est possible, nous intégrons également des extraits de vidéos dans nos livres via des flashcodes, afin de jouer à fond la complémentarité entre ces méthodes d’apprentissage.
Q – Vous êtes l’un des premiers éditeurs « traditionnel » à vous lancer sur ce format. Pensez-vous que les autres vont suivre ?
Si par « traditionnel » vous entendez éditeur de livres imprimés, effectivement c’est peut-être le cas. Toutefois, nous avons déjà une longue expérience du numérique en général (e-learning, livre numérique, bibliothèque numérique…) et le passage au format vidéo est une suite logique dans notre offre, ce n’est pas une grande révolution pour nous ce qui ne sera peut-être pas le cas des autres éditeurs.
Q – Un mot pour la fin ?
Après les livres imprimés puis numériques et le e-learning, le format vidéo est le dernier type de ressources publié par Editions ENI. Dans notre cœur de métier – la formation à l’informatique – nous avons l’ambition de rester incontournables en proposant les meilleurs outils pédagogiques à nos clients. Pour cela, nous restons aussi à l’écoute de toutes les évolutions technologiques, et suivons de près l’appropriation qui en est faite ensuite par nos clients.
Maxon vient d’annoncer la sortie de Cinema 4D 15(version R15 pour les plus pointus d’entre vous) pour la rentrée, en septembre 2013 donc. Préparez-vous, car il y a une belle liste de nouveautés, que voici, que voilà :
Les nouveautés de Cinema 4D 15
Des améliorations du côté des rendus, notamment du côté du Team Render proposant désormais un nombre indéfini de noeuds de rendu pour la version Studio et 3 noeuds pour les versions Visualize et Broadcast. C’est l’utilisateur qui décide si il peut distribuer le rendu d’une image ou bien l’intégralité d’une animation. Un nouvel algo de Cache d’irradiance a été ajouté pour obtenir des meilleurs résultats sur l’illumination globale, l’occlusion ambiante, le rendu physique.
Côté modélisation, un nouvel outil Biseau fait son apparition.
Du côté des Typo 3D : Cinema 4D connaissant un succès grandissant auprès de Motion Designers qui seront ravis d’apprendre que les outils de typo 3D ont été améliorés vous permettant d’obtenir des animations bien plus complexes ! Vous pouvez donc directement éditer vos texte grâce à MoText et Text Splines depuis la vue 3D directement, le tout pouvant être associé à MoGraph et Xpresso.
La Sculpture Dynamique : une nouvelle brosse (Amplifier) et les options avancées Dupliquer, Symétriser et Masquer permettront de sculpter plus finement dans Cinema 4D 15.
Création de Gazon facilitée grâce au gazon architectural (basé sur le module Hair et Fur)
Une nouvelle caméra simulant la célèbre caméra grue Louma fait son apparition.
Un nouveau gestionnaire de texture améliorant la gestion des bitmaps et apportant un outil de réparation de textures endommagées.
Bien entendu, vous pourrez vous mettre à jour grâce à une formation Cinema 4D 15 qui sera proposée rapidement par un de nos contributeurs à n’en pas douter !
Le récent challenge de Fan Art autour du l’univers Dragon Ball a permis de faire émerger des talents de de superbes rendus 3D réalisés grâce à ZBrush. Pour l’occasion, voici un petit best of des meilleurs rendus 3D liés à Dragon Ball :
Comment réaliser ce type de rendus 3D ?
Vous vous demandez certainement comment vous aussi vous pourriez atteindre un tel résultat ? C’est possible ; venez suivre une formation sur ZBrush concoctée par un des experts présents sur Tuto.com pour apprendre à maîtriser ce logiciel de sculpture 3D. Du débutant au niveau avancé, vous trouverez votre bonheur !
Alexey Samsonov et Fotolia vous propose pour 24h ce fichier PSD gratuit. Nommé Island ce PSD est une invitation au voyage : « J’étais en partance pour Bali lorsque Fotolia m’a proposé de participer au projet TEN. C’est de là qu’est venue mon inspiration. J’avais envie de partager ma destination en dessinant l’île où j’allais me rendre, telle que je me l’imaginais. ». Rien de mieux qu’une île pour débuter ce mois de juillet !
Couché de soleil sur la Moskova
Alexey en pleine fusion avec le chat mascotte d’un lieu très artistique à Moscou
Retour du masque de Heisenberg en Russie cette fois, emprunté à l’artiste Anglais Mike Harrison en préparation de la soirée avec les amis d’Alexey
Alexey en plein travail sur sa création TEN
oute la team fête la fin de tournage avec Liubov Tsepkova (Directrice Fotolia Russie) et Alexey avec en fond La cathédrale Saint-Basile
Bureau des DA de l’agence Catzwolf
Alexey en plein brief avec les DA de l’agence Catzwolf sur un nouveau projet créatif
Tournage dans les bureaux de l’agence Catzwolf avec laquelle Alexey travaille régulièrement
La sortie de Lightroom 5 ne vous aura certainement pas échappée ; la chaîne de tuto Lightroom 5 est déjà bien pleine. L’occasion pour nous de revenir sur le packaging de cette nouvelle version. C’est le studio californien Tolleson qui a été chargé une nouvelle fois (le studio avait déjà été chargé de l’identité graphique de la CS6, Lightroom 4 et du Creative Cloud) de poser l’ambiance de la suite CC et notamment de Lightroom 5.
Voici une petite vidéo sur les backstages de ce shooting photo :
L’équipe s’est chargée de créer une structure composée de tubes à Led pour former les initiales de Lightroom (le L et le R). Cette structure est censée illustrer la manière dont la lumière transforme la perception et influence l’expérience visuelle.